Avec zéro vote récolté par ses pairs pour le titre de coach de l’année, la pilule passe mal pour certains, sauf pour Brad Stevens.
Dimanche soir, les Celtics affrontent les Cavaliers pour le premier match de la finale de conférence. Aucun doute là-dessus, Brad Stevens a donc d’autres problèmes à gérer que le titre de coach de l’année. Ce trophée, remis par les coachs eux-mêmes – celui des médias sera donné en juin prochain – a suscité de vives réactions ces derniers jours. Dwane Casey n’est pas un vol, mais le coach de Boston n’a pas reçu un seul vote de la part de ses collègues.
L’entraîneur avait déjà répondu avec classe, mais c’est cette fois-ci Danny Ainge qui est venu le défendre.
Je ne suis pas sûr de ce qui est arrivé. La beauté de Brad, son authenticité, c’est qu’il n’y accorde pas d’importance. Il veut qu’on parle des joueurs, il aurait été gêné de gagner le trophée de coach de l’année.
Il est probablement plus à l’aise avec le fait de ne pas l’avoir remporté. Nous adorons Brad, et je pense qu’il sait qu’au sein de l’organisation – ses joueurs, les propriétaires, tous les gens autour de lui tous les jours – préféraient l’avoir lui plutôt que n’importe quel autre coach dans la ligue. Il est notre coach de l’année.
Source : Boston.com