Blessé et free agent à l’été prochain, la quête d’un gros contrat pour Nerlens Noel commence très mal. Le pivot assure cependant ne rien regretter après ses choix cet été.
On en sait un peu plus sur l’été de Nerlens Noel à Dallas, un feuilleton qui a fait parler après le refus du pivot. Pourtant les Mavericks ont rapidement fait comprendre au joueur qu’ils voulaient le garder. Dès le premier jour de la free agency, Dallas a transmis effectivement une offre de 70 millions de dollars sur les quatre prochaines années.
Les Mavericks ont monté un trade pour Noel, dans le but de compter sur lui dans les années post-Nowitzki. Une belle offre pour un joueur souvent blessé pour ses premières saisons en NBA. Une offre pourtant refusée.
La première et dernière offre finalement pour Noel, puisque les deux parties ne discuteront plus d’un nouveau contrat. Quelque temps plus tard au bout de l’été, le pivot a bien changé d’agent en engageant Rich Paul, mais le joueur n’a jamais demandé un contrat max selon certaines sources. La fin de l’histoire on la connaît, Nerlens Noel a signé une qualifying offer d’un peu plus de quatre millions de dollars et sera donc free agent l’été prochain avec la liberté de signer où il le souhaite.
Malgré une belle offre au début de l’été, le joueur l’assure, il ne regrette rien.
Je ne regrette absolument rien. Je ne suis pas nerveux car je connais mes capacités. Je sais de quoi je suis capable. Je sais ce que je peux faire sur un parquet et n’importe quand, jour et nuit. Il s’agit simplement d’avoir l’opportunité de le montrer.
Avec sa blessure et un début de saison la majorité du temps sur le banc, gros contrat ou non, le pivot ne se met clairement pas dans une position avantageuse l’été prochain lorsqu’il faudra négocier. Sa blessure au pouce devrait le tenir éloigné quelques semaines, il s’agira ensuite de gagner sa place au sein de la rotation et peut-être mieux. Reste à convaincre Rick Carlisle.
Nerlens Noel ne regrette en tout cas pas ses décisions, quoi qu’il en soit, si le meneur veut acquérir un certain salaire, il faudra le mériter.
Source : Bleacher Report