NBA – Une ex-star déballe : « À Miami ou New York, si les joueurs font ça, c’est qu’ils sont bourrés ! »

NBA Fred VanVleet, DeMar DeRozan, James Harden et Stephen Curry
Toronto Raptors (DR)

Par Joël Pütz | Journaliste sportif

Si les joueurs NBA rêvent souvent d’évoluer dans de gros marchés, ce n’est pas forcément que pour le prestige offert par ces derniers. La vie nocturne dans des villes comme Miami ou New York pousse parfois les athlètes à inventer des excuses pour justifier leur état avant les matchs, comme l’a raconté l’ancien ailier Chandler Parsons.

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On le sait, toutes les franchises NBA n’ont pas le même pouvoir d’attraction. Des villes comme San Antonio, Charlotte ou encore Minneapolis par exemple sont loin de pouvoir rivaliser avec Los Angeles, Boston, Miami ou New York quand les joueurs doivent choisir une destination. Il faut dire que ces dernières offrent une exposition médiatique et surtout, un train de vie totalement différents de la concurrence.

Ce n’est d’ailleurs pas un secret aux États-Unis que les basketteurs aiment se faire plaisir en dehors des parquets, surtout pendant la nuit. Et dans les mégapoles américaines, ce ne sont pas les boîtes de nuit et autres lieux de fête qui manquent… Ancien joueur de la ligue, Chandler Parsons a notamment révélé un détail intéressant sur FanDuel TV :

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Chandler Parsons cash sur les villes les plus distrayantes de la NBA

Pour moi, c’est Miami et New York. Si vous voyez un joueur « souffrir » de spasmes dorsaux ou de symptômes grippaux, c’est qu’il est bourré ou a la gueule de bois – plus qu’à Indiana ou dans une ville de ce genre. À New York et à Miami, tout reste ouvert très tard. Ce n’est pas qu’une question de nourriture. Si vous allez dîner à 23h30… Ce sont ces deux villes qui m’ont légèrement distrait.



Plutôt habile comme astuce ! Si vous n’avez pas récupéré d’une soirée trop arrosée, contentez-vous d’agir comme si vous étiez malades. Une combine qui ne doit cependant pas laisser dupes longtemps les entraîneurs, comme l’a confié Lou Williams. L’ancien Sixième Homme de l’Année, qui a fréquenté une demi-douzaine de franchises durant sa carrière, a confié que certaines « négociations » pouvaient avoir lieu :

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Avant, c’était Miami, mais Miami a la réputation d’être si distrayante que vous pouvez parfois négocier avec votre équipe d’entraîneurs et dire : « Yo, écoutez, la nuit avant le match, vous vous détendez tous, mais nous resterons après le match ». Et vous pourrez faire ce que vous voulez après le match ». Avant, c’était une distraction. Aujourd’hui, nous avons trouvé un terrain d’entente à Miami.

Mais certains des candidats les plus prometteurs seront Atlanta, Houston et Los Angeles. Dans toutes les grandes villes, vous aurez des distractions partout où vous irez.

Quand on sait qu’Atlanta et Houston sont célèbres pour leurs clubs de strip-tease (dont James Harden est notamment un grand fan), on n’a aucun mal à le croire sur parole.

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Si l’on veut rester discipliné d’un bout à l’autre de sa carrière, mieux vaut en effet ne pas jouer à Miami ou à New York. À vrai dire, c’est parfois un tel challenge que le moindre déplacement dans ces villes représente un véritable défi pour les joueurs.

Déclarations Miami Heat NBA 24/24 New York Knicks

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