NBA – Un an après son arrivée aux États-Unis, Wembanyama cash : « Par rapport à la France, ici, les…

La jeune star NBA française des San Antonio Spurs, Victor Wembanyama, ici accompagnée du drapeau des États-Unis
NBA (DR)

Par Pierre-Andréa Fraile | Journaliste sportif

Arrivé aux États-Unis en juin 2023, Victor Wembanyama y a parfaitement réussi son installation du côté de San Antonio, où il s’avère déjà adulé. Un an après, il a dès lors pu livrer un constat sans détour sur l’une des spécificités de la culture américaine.

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Certes promis à un avenir en NBA depuis de longues années, il lui a malgré tout fallu un temps d’adaptation pour y prendre ses marques. Victor Wembanyama a en effet eu besoin de quelques matches avant de parvenir à s’exprimer pleinement sur les parquets de la ligue et sous le maillot des Spurs. Chose qu’il a finalement réussi à faire, en témoigne son statut de Rookie de l’Année unanime.

Dans le même temps, son installation aux États-Unis a elle aussi entraîné une période d’ajustement. Il faut dire que l’environnement de San Antonio qu’il a rejoint n’a pas grand-chose à voir avec le bassin parisien dans lequel il a grandi. Cependant, cela ne l’a pas empêché de briller sur le terrain et d’exprimer une certaine joie de vivre sur place, preuve de sa bonne acclimatation en l’espace de quelques mois.

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Victor Wembanyama évoque l’une des différences entre la France et les US

Plus d’un an après sa draft, Wembanyama semble avoir assimilé les nuances du jeu de la NBA et s’y être conformé. Mais qu’en est-il des différences qu’il a pu observer entre la France et les États-Unis loin des terrains, dans la vie de tous les jours ? Cela a justement fait partie des questions qui lui ont récemment été posées après un entraînement des Spurs. Questions qui ont d’abord porté… sur ses talents de conducteur :



Victor Wembanyama : Est-ce que je conduis bien ? Ouais, je me débrouille. Je suis pas mal. J’arrive à contrôler mes pulsions. Vous savez, parfois, vous avez envie d’appuyer à fond sur l’accélérateur, mais j’arrive à me contrôler.

De quoi expliquer le fait qu’à ce jour, le jeune intérieur français n’a selon toute vraisemblance pas été victime du moindre accident de voiture.

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Et pourtant, là encore, le(s) véhicule(s) qu’il pilote et avec lesquels il partage les routes texanes n’ont rien à voir avec celles qu’il pouvait connaître en France. Un contraste sur laquelle il s’est épanché :

Victor Wembanyama : Bien sûr, j’ai remarqué que les voitures étaient plus grosses ici. Genre, par rapport à la France, ici, les grosses voitures ont une taille deux fois plus grande. Les routes sont aussi très larges, mais ça ne rend pas vraiment la chose plus compliquée. Tout reste assez naturel, je trouve.

Force est donc de constater que le gabarit XXL des 4×4 et autres pick-ups tant appréciés outre-Atlantique n’ont pas eu pour effet d’intimider Wemby. Un énième signal du bien-être qu’il ressent dans le pays de l’Oncle Sam.

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Parmi les nombreuses différences qui peuvent être recensées entre la France et les États-Unis, Victor Wembanyama n’a pas échappé à celle portant sur la taille des voitures. Taille qui convient finalement parfaitement à ses propres mensurations XXL.

Déclarations Les Français (NBA) NBA 24/24 San Antonio Spurs Victor Wembanyama

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