Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
D’ordinaire plutôt discrète sur sa vie personnelle, Carla Bruni se laisse parfois aller à quelques confidences ici et là en interview. C’est ainsi qu’au fil du temps, l’interprète de « Quelqu’un m’a dit » a évoqué son tempérament addictif, qui s’est notamment manifesté via trois vices particulièrement dangereux. Explications.
Personnalité à part dans l’univers de la musique, Carla Bruni est à bien des égards un tempérament à part, décalé. Mais si ses chansons mettent le plus souvent en exergue sa douceur, elle a décidé de révéler un autre de ses traits de caractère, et pas le plus glorieux : sa propension à l’addiction.
Les 3 addictions dangereuses de Carla Bruni
Invitée du podcast « Contre-addictions » il y a quelques temps, l’artiste d’origine italienne avait d’abord révélé avoir longtemps consommé du sucre de manière excessive et addictive :
J’ai commencé par le sucre, très assidûment, grande adepte du sucre, des vrais shots de sucre. J’ai pu boire jusqu’à 40 Coca-Cola par jour.
En plus du sucre, donc, qui peut évidemment mener à de nombreuses maladies, la femme de Nicolas Sarkozy a également été une grosse fumeuse pendant très longtemps. Et elle le regrette amèrement, comme elle l’a fait savoir tout récemment sur ses réseaux sociaux :
Je n’ai pas beaucoup de regrets dans ma vie , ce n’est pas dans ma nature : je chéris mes erreurs et mes échecs autant que mes joies et mes accomplissements. Mais il y a une chose que je regrette profondément et c’est d’avoir fumé des cigarettes…
Bien sûr j’ai fini par arrêter – et j’en suis fière – mais j’écris ce message pour toutes les personnes jeunes qui le liront peut être : ne commencez jamais à fumer. C’est terriblement dangereux et incroyablement inutile. Et ça sent mauvais de surcroît… J’aurais voulu que quelqu’un me dise cela lorsque j’étais jeune et inconsciente…
Si elle a enfin réussi à arrêter la cigarette, après l’avoir commencée à seulement 14 ou 15 ans (!), la chanteuse s’astreint aussi à limiter sa consommation d’alcool. Pourquoi ? Car son tempérament d’addict l’empêche de s’arrêter à une consommation raisonnable, comme elle l’a expliqué, là aussi au micro de « Contre-addictions » :
J’aime une douce ivresse. Le problème, c’est que comme je suis une addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse, donc je suis obligée d’arrêter l’alcool. Si je bois, il me vient la mauvaise idée de dire tout ce que je pense aux gens !
Sucre, tabagisme et alcool : Carla Bruni a multiplié les risques pour sa santé pendant de très longues années. À l’entendre, elle a néanmoins réussi à mettre ces trois addictions sous cloche, et on ne peut que l’en féliciter. Avec une seule chose à lui souhaiter en prime : pourvu que ça dure, le plus longtemps possible !