À 72 ans, la phrase très inquiétante de Renaud en privé : « Il faut s’attendre à…

Renaud
France TV (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Discret sur le plan médiatique depuis plusieurs années, Renaud est pourtant toujours bel et bien là. Mieux, le chanteur a passé la bague au doigt de celle qui est désormais sa femme, Cerise, il y a quelques semaines. Mais malgré ces excellents signaux, il ne cesse de répéter une phrase qui préoccupe ses proches en privé. Et pour cause.

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Monté très haut, tombé très bas, Renaud a connu une vie particulièrement mouvementée. Mais alors que les médias l’ont enterré maintes et maintes fois, et que son flirt avec l’alcool et la dépression a failli lui coûter la vie, l’interprète de « Mistral gagnant » a toujours su remonter la pente jusqu’ici. Malgré ses cicatrices, ses failles et ses blessures, celui qui fut l’icône de toute une génération aime les pieds de nez au destin. Et il l’a prouvé récemment encore.

Il y a quelques semaines, Renaud a en effet passé la bague au doigt à Cerise, dans ce qui constitue son troisième mariage. Si aucune photo n’a fuité, la presse a rapporté que bon nombre de ses amis étaient présents, dont Hugues Aufray. Mais loin d’une lune de miel dans son esprit, le chanteur ne parvient pas à surmonter sa nature…

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Le mauvais pressentiment de Renaud

Dans un documentaire qui sera diffusé sur W9 le 31 juillet prochain, certains amis très proches du chanteur ont en effet révélé cette phrase d’abord encourageante, mais ensuite inquiétante, qu’il répète en boucle :

Qu’est-ce que je suis heureux ! Mais il faut s’attendre à un retour de bâton.



Dans la même veine, et toujours animé d’une certaine poésie, il glisse également fréquemment cette maxime à son frère jumeau David :

Le bonheur, c’est le repos du chagrin.

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Pour ceux qui connaissent Renaud, rien de bien étonnant à ces propos rapportés. Le rapport à la vie du chanteur a toujours été compliqué, notamment en raison des nombreux malheurs qu’il a traversés dès sa jeunesse. En 2012, d’ailleurs, il expliquait à « Paris Match » :

Non, je ne prends pas d’antidépresseurs et je n’ai pas besoin de psychothérapeute. J’en ai vu plusieurs pendant des années, cela ne m’a servi à rien. J’ai ce mal-être depuis très longtemps, bien avant Romane. J’ai du mal avec la vie, point final.

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Grand pessimiste devant l’éternel, Renaud peine presque à croire qu’il lui soit possible d’être heureux durablement. Souhaitons-lui toutefois qu’après toutes ses galères, tous ses hauts et tous ses bas, l’écorché vif parvienne enfin à profiter de la vie loin de ses démons. Pour lui, et pour le bonheur de sa famille.

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