Par Mathieu S. | Rédacteur sport
Alors que Caitlin Clark a donné un coup de boost à la WNBA avant même son arrivée dans la ligue, les joueuses trouvent lui moyen de lui en vouloir. Elle est visée sur les parquets, et Draymond Green en a visiblement marre.
Tandis que le Fever a gagné son duel contre le Sky ce samedi soir en WNBA, il s’agissait du premier affrontement entre Caitlin Clark et Angel Reese. C’est bien la première qui peut avoir le sourire avec ce succès, même si cette partie a été ternie par le geste détestable de Chennedy Carter. Manifestement, tout le monde n’aime pas Clark.
Caitlin Clark agressée par les autres joueuses
On a eu le droit à quelques paroles dans ce match, mais Carter a franchi une limite en poussant dans le dos Clark lors d’une remise en jeu, alors qu’elle n’avait pas le ballon. Un geste d’anti-jeu et honteux, qui n’a pourtant pas été sanctionné d’une faute flagrante ou d’une technique contre la joueuse. Absolument lunaire.
The league got a bounty on Caitlin Clark pic.twitter.com/aY2qlA2SOb
— Ahmed/The Ears/IG: BigBizTheGod 🇸🇴 (@big_business_) June 1, 2024
Sur le second ralenti, on peut même voir que Carter profère quelques insultes à Clark gratuitement. Un moment de célébrité pour la joueuse du Sky, rapidement moquée sur les réseaux sociaux pour son attitude, surtout après la défaite de son équipe sur le score de 71-70. Pas mal de réactions vous l’imaginez, dont celle de Draymond Green.
Charles Barkley was right 😭
— zaiire 💫 (@_zaiire_) June 1, 2024
Charles Barkley avait raison 😭
Draymond says the Indiana Fever should “invest in an enforcer” after seeing teams go after Caitlin Clark 👀 pic.twitter.com/vVlnY2VN2u
— Legion Hoops (@LegionHoops) June 2, 2024
« Indiana ferait mieux d’investir dans un bourreau MAINTENANT »
Par bourreau, comprenez par là quelqu’un capable de défendre ses partenaires. On ne peut s’empêcher de remarquer que personne ne vient défendre Clark ici, ce qui est un problème.
Caitlin Clark visée par les adversaires, le Fever doit réagir et vite si la WNBA ne le fait pas. Dans le pire des scénarios, la numéro 1 de la dernière draft pourrait bien terminer avec une blessure.