Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Très présente dans les médias depuis quelques temps, Adriana Karembeu poursuit une sorte de révolution personnelle dans sa vie ces derniers temps. C’est d’ailleurs dans ce cadre que, du haut de ses 52 ans, et elle s’est une fois de plus confiée toute en franchise sur sa vie privée. Avec une annonce de taille à la clé…
Pendant longtemps, Adriana Karembeu était surtout renvoyée à son métier de mannequin. Elle était aussi considérée par certains comme « femme de », du fait de sa longue relation avec le footballeur et champion du monde 1998, Christian Karembeu. Tout cela est néanmoins révolu aujourd’hui, puisque la Slovaque a parfaitement géré son après-carrière, en s’arrogeant plusieurs casquettes avec réussite.
En plus d’apparaître régulièrement dans les médias et à la télévision, par exemple aux côtés de Michel Cymès, la quinquagénaire écrit désormais des livres. Et quelques mois après « Ma cuisine gourmande sans grossir », dont le titre est assez équivoque, c’est une autobiographie, intitulée sobrement « Libre », qu’elle sort le 2 mai prochain.
Adriana Karembeu de nouveau en couple et plus en forme que jamais
C’est dans ce contexte que la mère d’une petite Nina a aussi connu un chambardement dans sa vie personnelle. Séparée d’Aram Ohanian depuis 2022, celle a qui la presse a prêté une réunion avec Stomy Bugsy a fait savoir lors d’un entretien accordé à Télé-Star qu’elle avait retrouvé l’amour. Cet homme « au yeux verts » a « révolutionné sa vie » d’après elle, la faisant nager en plein bonheur.
Plus équilibrée que jamais, Adriana Karembeu estime donc être parfaitement accomplie en tant que femme sur le plan privé, et elle ne s’en cache pas :
Je pensais que ma vie de femme était terminée, que je ne plairais plus à personne, que j’allais jardiner, tricoter ! Or, à 52 ans, j’ai fini ma crise d’adolescence. J’ai plein de projets. Je vais tourner dans une fiction qu’on verra cet été à la télévision.
Pour elle, qui a notamment été marquée par le comportement horrible de son père durant sa jeunesse (« ce que j’ai vécu laisse des traces », glisse-t-elle sobrement), ce livre ressemble à un véritable exutoire, un chemin vers la liberté :
Pendant l’écriture, je me suis replongée dans les souvenirs de mon enfance, mes années d’études de médecine, ma carrière de mannequin, mes deux mariages, et surtout, la naissance de ma fille chérie, Nina. J’ai réalisé que toute ma vie a été guidée par une envie de liberté ! Enfant, c’était une question de survie, adulte, le métier de mannequin a été ma porte vers la liberté ! J’avais alors accès à un monde libre !
Adriana Karembeu va bien, va mieux, et elle semble voir toutes les planètes s’aligner dans tous les pans de sa vie. Souhaitons à celle qui passe une bonne partie de son temps à Marrakech que cette belle période se poursuive, et que son histoire d’amour soit la bonne jusqu’au bout !