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Par Joël Pütz | Journaliste sportif
Si l’agent coule à flot au sein de la NBA et notamment chez les joueurs dont les salaires sont de plus en plus astronomiques, certaines transactions conséquentes se font dans l’ombre et notamment en ce qui concerne leurs rapports avec les femmes. Ancien de la ligue, Gilbert Arenas n’a pas mâché ses mots sur le sujet dernièrement.
Ce n’est un secret pour personne, les joueurs NBA entretiennent parfois des relations assez particulières avec la gent féminine. Comme ils sont en déplacement pendant la moitié de la saison, difficile souvent pour les athlètes de fonder une véritable famille et certains enchaînent donc plutôt les amourettes éphémères. Or, tout cela mènerait en fait à un véritable business loin des caméras.
C’est tout du moins ce qu’a récemment prétendu Gilbert Arenas, l’ancien meneur des Wizards étant réputé pour ses prises de position chocs à propos de la grande ligue. Très bavard sur son podcast, il s’est cette fois-ci exprimé auprès de Vlad TV et n’a pas mâché ses mots sur le sujet, expliquant que certaines femmes fréquentaient plusieurs joueurs à la fois et étaient payées 60.000 dollars pour garder le silence.
Gilbert Arenas cash sur les magouilles entre les femmes et joueurs NBA
C’est le tarif en vigueur, pour l’essentiel. Quand je dis « payé », tout le monde pense qu’il y a cette chose appelée « tricking » (argot pour désigner les rapports sexuels rémunérés, ndlr), n’est-ce pas ? Si c’est comme ça que vous voulez l’appeler alors ok, appelez ça comme vous voulez, mais c’est la raison pour laquelle vous ne voyez pas de joueurs NBA dans la plupart des situations que vous voyez dans le reste du monde, n’est-ce pas ?
Il n’y a pas de plaintes pour harcèlement sexuel, il n’y a pas de plaintes pour viol parce que la plupart des contrats que nous avons sont conclus avec des filles qui n’ont pas froid aux yeux. Et la plupart d’entre elles se font quatre ou cinq joueurs en même temps.
L’Agent Zéro ne s’est cependant pas arrêté là, bien au contraire puisqu’il en a rajouté une couche :
La seule fois où il y a un problème, c’est lorsqu’elle s’occupe de deux joueurs et que l’un d’entre eux est, disons, une superstar, et qu’elle s’occupe d’un All-Star ordinaire. Et il s’offusque, n’est-ce pas ? Il se dit : « Il n’a même pas le même statut que moi ».
Une guerre d’égos entre joueurs autour d’une même fille ? Arenas se fait souvent tacler pour ses opinions controversées, mais cette affirmation ne paraît pas si dingue que ça quand on connaît la NBA.
Le tarif avancé par Hibachi ne sort d’ailleurs pas de nulle part, lui qui avait clamé il y a quelques jours que certaines Insta-girls et actrices pour films X pouvaient toucher 60.000 dollars selon les athlètes qu’elles fréquentaient :
Les 60.000 dollars sont répartis entre trois hommes, 20.000 chacun. Si elle sort avec trois mecs, trois joueurs avec un contrat maximum, et qu’ils lui paient tous 20 000 dollars par mois, c’est bon.
Bien évidemment, on ne dispose pas réellement de preuves concernant les affirmations de Gilbert Arenas. Mais ce ne serait finalement pas si étonnant que ça, d’autant que les histoires impliquant les joueurs NBA ont parfois pu être bien plus sordides que ça.
