puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Par Pierre-Andréa Fraile | Journaliste sportif
Marié depuis à peine plus d’un an, Benoît Saint-Denis a vécu la joie d’accueillir au cours de l’été une petite fille. Cette dernière l’accompagne d’ailleurs déjà pour ses combats à l’UFC… en marge desquels son père n’utilise pas forcément un langage filtré.
À n’en pas douter, il se souviendra toute sa vie de ce second semestre de l’année 2023. Benoît Saint-Denis a en effet vécu des derniers mois extrêmement fournis et éreintants sur le plan sportif, avec pas moins de trois combats disputés et remportés depuis juillet. Le premier d’entre eux a par ailleurs été rapidement été suivi d’une autre bonne nouvelle sur le plan privé, avec la naissance de sa première fille :
La sortie sans filtre de Benoît Saint-Denis devant sa petite fille
Malgré cet heureux événement et l’aspect chronophage qui l’accompagne généralement, Saint-Denis n’a pas mis de côté sa carrière de combattant MMA. Au contraire, il a redoublé d’efforts dans les semaines qui ont suivi la venue au monde de sa fille, qui a même pu assister à New York à son dernier succès en date contre Matt Frevola. Un triomphe qu’il lui avait même prédit… de façon cash devant les caméras de RMC Sport :
😅🇫🇷 @BenoitSt_Denis à sa fille avant son KO à l'#UFC295 : "Il faut tuer Frevola et après on pourra regarder les combats…"
— RMC Sport Combat (@RMCSportCombat) December 6, 2023
💥 Il a tenu parole avec ce kick monstrueux !
🎬🍿 Notre film en inside avec notre Français ► https://t.co/WxEeUpE3NF pic.twitter.com/j4tUOY9U2B
Il faut tuer Frevola, et après on pourra regarder les combats avec Papa, Parrain et Tonton !
Cette courte séquence, filmée juste avant le combat du Français à l’UFC 295 et partagée dans le traditionnel « film inside » de RMC Sport (à retrouver en intégralité ici), montre bien que BSD ne manie pas encore avec des pincettes le langage qu’il utilise devant devant sa fillette.
À peine âgée de trois mois sur ces images, cette dernière a ainsi pu entendre que son père comptait « tuer » son adversaire avant de pouvoir passer autant de temps qu’il le voudrait avec elle. Un terme qui interpelle forcément, mais dont la « Princess of War » ne connait et ne comprend bien évidemment pas encore le sens. De quoi justifier la liberté que s’octroie encore le Nîmois dans ses paroles envers elle.
S’il emploie bien la voix généralement de vigueur pour s’adresser aux nourrissons, Benoît Saint-Denis n’a en revanche pas encore adapté son vocabulaire auprès de sa petite fille. Vigilance, car il devra certainement prendre le pli d’ici quelques mois !
