puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Il est clair que Russell Westbrook n’a jamais trouvé sa place chez les Lakers. Malheureux, surtout quand il a commencé à sortir du banc, le meneur se relance aujourd’hui aux Clippers. Mais pour un ancien de la maison, Russ ne mérite pas de telles critiques.
De retour chez les Clippers dans quelques semaines, Russell Westbrook a décidé de prolonger son aventure dans la Cité des Anges. Il faut dire que la dernière saison s’est bien déroulée avec de belles prouesses en playoffs, mais sans Kawhi Leonard et Paul George. Est-ce que les trois hommes peuvent vraiment s’entendre pour permettre à la franchise de rêver d’un titre ? Disons qu’on peut encore avoir quelques doutes.
Entre les blessures de Kawhi et PG13, il y a de sérieux doutes sur les chances des Clippers de remporter le titre. Les dirigeants demeurent confiants, même si on sent que cette saison 2024 est peut-être la dernière chance pour ces stars de s’exprimer ensemble. Si ça ne fonctionne pas, le front office devra sans doute tout casser, et permettre à Westbrook de rebondir ailleurs.
Russell Westbrook reçoit un soutien étonnant
La bonne nouvelle pour Russ, c’est que de multiples personnes lui font encore confiance dans la ligue. Les Clippers évidemment, tout comme Patrick Beverley, persuadé que son ancien coéquipier est capable de belles choses. Dans le dernier show de Gilbert Arenas, Bev a même expliqué que Westbrook ne méritait pas son fameux surnom « Westbrick », tristement devenu célèbre.
Pat Bev says Russell Westbrook doesn’t deserve the nickname “Westbrick” after shooting 40% from 3
— NBACentral (@TheDunkCentral) September 1, 2023
(Via @GilsArenaShow / h/t @OVOLakeShow )
pic.twitter.com/4lfSmOzUBB
Pat Bev explique que Russell Westbrook ne mérite pas le surnom « Westbrick » après avoir shooté à 40% à trois points.
Il n’est jamais simple pour un joueur de porter un tel surnom, bien que Russ est connu pour ne pas y prêter attention. Seul bémol ? Westbrook n’a pas réussi une saison à 40% à 3 points, contrairement à ce que Pat Bev pense. Il était à 35.6% aux Clippers, mais avec seulement 21 matchs dans les jambes, soit un échantillon trop faible pour juger. Une argumentation plutôt bancale donc…
40!???? pic.twitter.com/AOdKhrDDQX
— ⛄️ (@56nitez) September 1, 2023
Même si Patrick Beverley a raison sur le fond, il n’a pas le bon argumentaire pour défendre Russell Westbrook. Le meneur n’a jamais été aussi bon à trois points, sans parler du fait que l’échantillon est trop faible pour tirer une quelconque conclusion. Il en faudra bien plus pour faire oublier ce fameux « Westbrick. »
