Après un été chargé sur les routes de France, Christophe Willem s’apprête à vivre une fin d’année toujours aussi intense avec de nombreux concerts prévus aux quatre coins de la France. Tout cela n’empêche pas l’artiste de continuer à accorder des interviews à certains médias, et de se livrer sur de nombreux sujets sans tabou. La preuve avec ses propos tenus au micro de Closer.
Voilà bientôt plus de deux décennies que Christophe Willem est sur le devant de la scène musicale française, ce qui est tout sauf négligeable dans un milieu où la notoriété peut vite s’étioler. Toujours aussi suivi par ses fans et performant sur scène, celui qui a longtemps été surnommé « La Tortue » est également de plus en plus à l’aise avec lui-même et sa vie privée.
Les confidences de Christophe Willem sur le chirurgie… et son vice
Récemment, il s’est par exemple confié sans détour sur son recours à la chirurgie esthétique dans les colonnes de Closer :
Je n’ai aucun tabou avec la chirurgie esthétique. J’ai fait des implants capillaires et j’ai corrigé mon nez pour me plaire, à moi. Je ne suis pas dans une logique de perfection, j’en suis beaucoup trop loin !
Si mon visage se dégrade trop vite, je ferai une injection de Botox ou un lifting. Pourquoi le cacher ?
Des propos très honnêtes, qui tranchent avec l’omerta qui règne parfois sur les sujet dans le milieu du showbiz. Les langues semblent toutefois commencer à se délier, à l’image des propos récents de Sophie Davant, et de ceux de Karine Le Marchand.
Au-delà de son recours au bistouri et autres pratiques, Christophe Willem se maintient surtout en forme à travers le sport, un rouage essentiel pour assurer de longues tournées sans faiblir :
C’est important d’avoir l’énergie de délivrer le meilleur sur scène. Je m’entraîne avec un coach, je fais du cardio, de la musculation… sans espérer un corps bodybuildé !
Pour autant, l’interprète de « PS, je t’aime » n’est pas parfait. Il confesse volontiers ce qu’il estime être son seul vice : la cigarette.
Le tabac est mon seul vice. J’arrête complètement de fumer pour assurer le show. J’ai une rigueur de sommeil. Je ne suis ni dans l’excès, ni dans l’autodestruction.
L’approche du métier est donc globalement plutôt saine pour Christophe Willem, qui semble se connaître de mieux en mieux au fil des années, et qui ambitionne de durer au top. « Vieillir, ce n’est pas subir », glisse-t-il en conclusion.
Si beaucoup d’artistes cherchent à cacher leurs addictions ou leurs recours à la chirurgie esthétique, Christophe Willem a décidé de jouer la carte de l’honnêteté sur ces deux sujets. Une transparence qui plaira à ses fans, et qui atteste surtout du fait que l’artiste est mieux que jamais dans sa peau. Et c’est tant mieux ainsi !