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Compte tenu de son train de vie à part entière pour une star de NBA, Dennis Rodman possède de sacrées anecdotes qu’il aime raconter. La dernière en date implique une femme transgenre… et une question embarrassante pour ses homologues joueurs !
Peu importe l’époque, peu de légendes auraient sans doute été capables de réaliser une carrière aussi mémorable que la sienne avec un tel emploi du temps. Car quand certaines icônes NBA ont dédié ou dédient leur vie au basket, Dennis Rodman n’y accordait qu’une infime partie de son temps. En effet, malgré ses exploits sur les parquets, l’ancien intérieur des Bulls se focalisait avant tout sur… sa vie nocturne.
Le récit génial de Dennis Rodman sur son amie transgenre
Capable de délaisser son équipe en pleines Finales NBA pour se rendre à Las Vegas, Rodman se place comme un énergumène à part entière dans l’histoire de la ligue. Il lui arrivait néanmoins d’emmener quelques uns de ses pairs avec lui lors de ses virées du genre. Son ex-coéquipier à Detroit et Chicago, John Salley, se souvient par exemple d’une drôle de rencontre qu’il a faite à ses côtés au micro de Vlad TV :
En signant aux Bulls, je retrouve Dennis, et avant un match face au Heat, il m’invite pour une soirée. Sur place, à notre table, j’étais comme un fou parce qu’il y avait Jerry Springer, mais il y avait aussi une blonde. Blonde, belle poitrine, sacré look : il y avait Marylin Monroe à notre table ! Je la regarde encore un peu, et là j’ai compris. Dennis me l’a montrée des yeux et je lui ai dit, « Nan, pas mon style. » (…)
Plus tard, Dennis me dit, « T’as pas changé, Sal’. T’es le seul qui n’a pas essayé de la draguer de la soirée ! » Je lui ai répondu, « Ouais, pas mon style. J’ai un radar pour ça. » C’était un gars !
Contrairement aux autres invités de la soirée, Salley aurait ainsi immédiatement identifié le sexe biologique de cette fameuse blonde plantureuse qui accompagnait Dennis.
Invité à son tour à évoquer cet épisode par Vlad TV, Rodzilla a confirmé les dires de son vieil acolyte, sans toutefois répondre à la question brûlante que se posait son hôte :
Ouais, c’était Mimi Marks, une bonne amie que j’avais à Chicago. Elle ressemblait vraiment à Marylin Monroe. Moi, je ne piégeais pas les gens ! C’était mes amis qui essayaient de la draguer. Elle s’habillait comme une femme et avait « tout » d’une femme. Et quand certains de mes amis l’embrassaient, ça me faisait rire ! Est-ce que des joueurs NBA l’ont embrassée sans savoir ? Je ne vais pas entrer là-dedans.
Pas du genre à balancer ses compagnons de soirée de la sorte, The Worm ne les trahiraient-ils pas pour autant en ne balayant pas simplement cette possibilité ? Chacun se fera son propre avis !
Bon ami d’une célèbre femme transgenre à Chicago, Dennis Rodman se plaisait à voir ses compères la draguer sans se douter de quoi que ce soit. Et si John Salley ne s’est pas fait avoir, impossible de savoir si d’autres joueurs ont quant à eux céder à ses charmes !
