NBA – Obsédé, Stephen Jackson craque encore : « Tony Parker se faisait… »

NBA Stephen Jackson et Tony Parker
SHOWTIME (DR) / France 5 (DR)

Ancien coéquipier de Tony Parker à San Antonio, Stephen Jackson voue cependant une haine féroce au meneur français. Il le sabre donc dès qu’il en l’a l’occasion et il a d’ailleurs remis ça récemment. Clairement, les deux hommes ne sont pas près de partir en vacances ensemble…

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C’est bien connu, le roster de la dynastie des Spurs était extrêmement soudé avec notamment le Big Three composé de Tony Parker, Tim Duncan et Manu Ginobili en tête de gondole. Les trois hommes avaient d’ailleurs une relation privilégiée avec l’entraîneur Gregg Popovich et ça a porté ses fruits, avec quatre titres entre 2003 et 2014. Pour autant, ça ne plaisait pas à tout le monde.

S’il a joué dans le Texas lors du premier sacre, Stephen Jackson par exemple ne garde pas un bon souvenir de son passage là-bas. Réputé pour être une sacrée tête brûlée, le scoreur ne correspondait pas du tout à la franchise en termes d’attitude et forcément, ça ne passait pas auprès des autres. D’après l’ancien joueur, il n’a d’ailleurs jamais fait confiance à Pop et le trio de superstars.

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Stephen Jackson démonte les playoffs 2003 de Tony Parker

Cependant, il semblerait que Jax ait tout particulièrement un problème avec TP, qu’il s’empresse de fracasser dès que l’occasion se présente à lui. S’il se ridiculise parfois en faisant ainsi, ça n’empêche pas l’ex-Warrior de continuer. De passage récemment sur le podcast de Kevin Garnett, il en a rajouté une couche en visant notamment la campagne de playoffs 2003 de l’ancienne légende des Bleus.



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Tony Parker se faisait bouffer. Cette année-là, il s’est fait fumer par tous les meneurs de jeu qu’il a affronté. C’est Speedy Claxton qui nous a sauvé, je ne sais pas pourquoi on ne parle pas assez de lui et qu’on ne lui accorde pas plus de crédit. Tony Parker passait son temps sur le banc dans le dernier quart-temps parce qu’il se faisait défoncer.

On notera d’ailleurs cette histoire de Speedy Claxton a également été abordée par un autre ex-joueur dernièrement, avec un verdict similaire pour Tony. Cela étant dit, bien que ce dernier ait pu avoir des difficultés lors de cette post-season, il faudrait peut-être rappeler qu’il n’avait alors que 21 ans et qu’il tournait tout de même à 15 points de moyenne. On a connu pire pour un sophomore jouant avec Tim Duncan.

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20 ans après, Stephen Jackson garde toujours en travers de la gorge cette campagne de post-season 2003 de Tony Parker qu’il estime abyssale. Reste que le Français a su progresser ensuite au point de devenir MVP des Finales en 2007. Jax quant à lui n’a jamais fait mieux que lors de sa pige aux Spurs.

Déclarations NBA 24/24 San Antonio Spurs Tony Parker

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