Période unique dans l’histoire, la bulle d’Orlando a non seulement vu le sacre de LeBron James et des Lakers, mais aussi la naissance de feuilletons olé-olé. Les stars concernées avaient soi-disant un système bien ficelé pour satisfaire leurs besoins intimes !
Face à la crise sanitaire sans précédent de l’époque, la ligue n’avait d’autres choix que d’employer les grands moyens. Suite au hiatus observé durant la saison 2019-20 à cause du Covid-19, la NBA a décidé de poser temporairement ses valises dans l’enceinte de Disney World. Un lieu parfait pour poursuivre son cours tout en respectant une quarantaine obligatoire, mais qui contraignait ses membres à de gros sacrifices.
Privés de sexe dans la bulle, la parade lunaire des joueurs NBA
Soudainement bousculés dans leurs habitudes, les joueurs ont presque rejoint la bulle d’Orlando à contre-cœur pour certains. En effet, un tel isolement impliquait certes un retour du basket, mais aussi de nombreuses restrictions. Éloignés notamment de leurs compagnes, ils ont ainsi été obligés à observer une période d’abstinence sexuelle de quelques semaines, voire mois. C’était cependant sans tenir compte de leur ruse :
The Atheltic’s Marcus Thompson on how players are working around the lack of sex in the bubble – “From what i’ve been told there is some pretty hot message therapists come through” via /r/nba https://t.co/8ahsN9qy9e
— Kevin Seawright (@KevinSeawrightt) July 26, 2020
Marcus Thompson de The Athletic, au sujet de l’adaptation des joueurs concernant le manque de sexe dans la bulle : « J’ai entendu dire que certains ont trouvé des solutions. Les joueurs n’avaient pas le droit d’emmener leurs femmes, mais ils ont fait venir des masseuses assez sexy. Il y en a quelques unes qui, vous savez… sont entrées dans la bulle par la porte de derrière de ce qu’on m’a dit. »
Une rumeur caliente qui s’est par la suite confirmée avec le cas polémique de Danuel House Jr., dont les actes inconscients ont conduit à son exclusion de la bulle. Également présent sur place avec les Blazers, C.J. McCollum s’est pour sa part fendu d’un témoignage qui corrobore cette version dans les colonnes de GQ :
On était là, dans la bulle, à devenir fous, et le taux de testostérone crevait le plafond. Personne n’avait pu amener sa moitié, mais on savait que les gars célibataires faisaient des dingueries comme ils avaient l’habitude de le faire en temps normal. Du coup, il y avait beaucoup de tension et de stress.
Une situation des plus incongrues, qui aura beaucoup amusé Kevin Durant malgré son absence sur blessure !
Parmi les privations auxquelles ont dû faire face les joueurs NBA dans la bulle d’Orlando, celle de relations intimes a semble-t-il pesé lourd. À tel point que ces derniers ont préféré mettre en péril leur santé, et possiblement leur couple !