Pour la première fois en playoffs avec les Nuggets, DeMarcus Cousins n’est pas resté longtemps sur les parquets. Le pivot a été éjecté de la partie, après deux fautes techniques très rapides. Le problème pour les fans ? L’arbitre en question, qui est un habitué du genre.
En difficulté pendant des années, DeMarcus Cousins peut enfin se relancer avec les Nuggets cette saison. Il obtient du temps de jeu derrière Nikola Jokic, et se sent assez bien sous les ordres de Mike Malone. Il espérait donc aider son équipe ce samedi soir, lors du Game 1 contre les Warriors. Le problème ? Son aventure a tourné court.
Encore une éjection pour DeMarcus Cousins !
10 minutes sur le parquet, et puis c’est tout. Boogie a été éjecté après une première faute technique, puis une seconde dans la foulée. De quoi se poser des questions, surtout quand on connaît l’homme derrière ces décisions : Scott Foster, la hantise des joueurs NBA.
Si la seconde technique peut sans doute s’expliquer par des mots, la première est incompréhensible. DMC est tout simplement en train de défendre, et ne comprend pas pourquoi il reçoit cette technique, d’où sa réaction et celle de son coach, tout proche de l’action. Malone s’est d’ailleurs exprimé, et demande une explication.
Michael Malone said he didn’t hear or see anything that led to DeMarcus Cousins’ first tech. He said Scott Foster told him that Cousins had some choice words that led to the second tech and ejection.
— Ohm Youngmisuk (@NotoriousOHM) April 17, 2022
Michael Malone a indiqué qu’il n’avait rien entendu concernant la première technique de DeMarcus Cousins. Scott Foster lui a expliqué plus tard que Cousins avait eu certains mots, qui ont mené à sa seconde technique et l’éjection.
Encore un choix très douteux de la part des arbitres, surtout pour un match des playoffs. La seconde technique semble être justifiée, mais la première ? On peut se poser des questions sur certains officiels, d’autant que ce n’est une première avec Boogie cette saison. Le pivot est malheureusement victime de sa réputation, et voilà le résultat.