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Illustre joueur sur les parquets NBA, Dennis Rodman menait paradoxalement un train de vie des plus agités le reste du temps, y compris sur le plan sexuel. Il en a d’ailleurs déjà révélé des détails croustillants, et presque un peu arrogants !
Si The Last Dance a pu transmettre une seule image de lui, il s’agit bien de celle d’électron libre, capable de tout en plein match ou en pleine saison NBA. Phénomène de la ligue des années ’90, Dennis Rodman doit tout autant sa célébrité à ses exploits sur les terrains, qu’à ses écarts et ses dérapages loin de ces derniers. Cela lui permet d’ailleurs de se placer comme l’un des joueurs les plus singuliers de l’histoire.
Outre sa passion pour la fête et la boisson, The Worm affichait un amour inconditionnel pour la gente féminine. S’il ne prétend pas afficher autant de conquêtes que Wilt Chamberlain dans sa vie, l’intérieur star des Bulls présentait malgré tout un tableau de chasse impressionnant dans le domaine. Il s’en est d’ailleurs vanté sans complexe dans son auto-biographie, I Should Be Dead By Now, parue en 2005.
Dennis Rodman, tombeur professionnel de ces dames
Au moment de revenir sur son idylle ultra-médiatisée avec Carmen Electra, Rodman s’est fendu d’une sortie bien assez impudente sur sa vie intime !
Je ne sais pas à quoi c’était dû. Peut-être que c’était parce que, à cette période de ma vie, j’avais des rapports sexuels avec énormément de femmes différentes. Tellement que, parfois, ça devenait presque un travail, vous voyez ?
Il semble donc que Rodzilla se considérait presque comme un homme de joie à cette époque. Heureusement, Electra a su le faire sortir de ce train-train éreintant.
Avec Carmen, c’était différent. C’était sympa de pouvoir être avec quelqu’un, de devoir attendre le bon timing, le bon endroit, le bon moment pour se voir.
Pris dans une véritable relation avec la star du X, Dennis a découvert les bienfaits de cette vie sentimentale, bien éloignée de celle qu’il menait auparavant.
Je l’ai récupérée à l’aéroport et je l’ai emmenée dans le petit ranch en briques que j’avais à Northbrook. L’endroit était pas mal, mais n’avait rien pour impressionner une star d’Hollywood. « Tu vis vraiment là ? » « Ouaip. » On est allés manger des sushis, on est rentrés, on s’est allongés sur le lit, et on a passé la nuit à se regarder dans les yeux et à se parler, à se parler, à se parler.
Paradoxalement, c’est donc avec la jeune femme qu’il a pu échapper à ce quotidien rythmé par le sexe.
Elle est restée là pendant 4 ou 5 jours — chez moi, dans mon lit — et on n’a pas fait une seule fois l’amour. Irréel.
Indissociable de la vie nocturne, Dennis Rodman a entretenu un rythme infernal sur le plan sexuel, et enchainé les conquêtes sexuelles. Une manie qu’il regrettait presque dans sa biographie, mais qui lui a permis d’obtenir une image unique dans l’histoire de la NBA !
