En grande difficulté dans le passé chez les Hornets, Malik Monk était proche de quitter la NBA, avant de tomber sur l’intérêt des Lakers. Dure réalité pour l’arrière, qui prouve aujourd’hui qu’il a totalement sa place parmi l’élite. Et pourtant, la catastrophe n’était pas loin.
Choisi en 11ème position lors de la draft 2017, par les Hornets, Malik Monk n’a pas su répondre aux attentes. L’arrière a montré des choses intéressantes en attaque, mais sa défense n’était pas au rendez-vous. Charlotte a décidé de réduire son temps de jeu au fil des mois, avant finalement de le laisser partir à la fin de son contrat.
Les regrets de Malik Monk avant de venir aux Lakers
Une fin surprenante pour l’arrière, très déçu par la tournure des événements, et qui n’a pas suscité un gros intérêt sur le marché… sauf de la part des Lakers, désireux de le relancer. Comme il s’est confié pour The Athletic, l’intéressé était très déçu par tout ça.
C’était vraiment dur pour de voir que les Lakers étaient la seule équipe qui voulait me recruter. Parfois, je ne savais pas trop quoi penser. Aujourd’hui j’ai la chance de jouer, et je veux le faire pendant un long moment. C’est ce que je fais actuellement.
Les Angelinos n’ont pas eu de concurrence au moment de recruter Monk, ce qui a plu au front office. Frank Vogel lui, est conquis par son joueur :
C’était un choix de la loterie, donc les attentes sont assez grandes le concernant pour la suite de sa carrière. Les Hornets n’ont pas beaucoup gagné lors de ses premières années, et il avait un rôle très irrégulier. Mais il veut obtenir une grande carrière, et c’est quelqu’un de très confiant.
Aujourd’hui, Monk a retrouvé de la confiance, lui qui est parfois dans le 5 des Lakers, et qui répond présent avec de grandes prestations. Il y a quelques jours, il a encore planté 22 points sur la tête des Wolves :
Il ne fait aucun doute que Malik Monk fait partie des bonnes affaires des Lakers, eux qui se demandent encore comment ils ont fait. L’arrière est un steal, et le fait payer à de nombreuses équipes. Tant mieux pour Los Angeles, même si le prolonger sera très complexe.