Alors que certains joueurs ont comme objectif de se faire le plus d’argent possible, notamment pour s’occuper de leurs familles, d’autres n’ont pas ce problème en arrivant en NBA. Trois stars de la ligue ont ainsi vécu comme des princes avant d’être pro… dont un Français ! On fait le point.
Kobe Bryant
Si on retient avant tout le Mamba pour sa carrière phénoménale, l’intéressé ne partait pas de rien en matière de skills basketballistiques. En effet, son père Joe « Jellybean » Bryant a lui-même signé plus de 600 matchs NBA avant de se rendre sur le Vieux Continent, notamment du côté de l’Italie et de… Mulhouse, en Alsace. Comme quoi tout arrive ! Quoi qu’il en soit, le paternel a su rentabiliser au maximum sa carrière, puisqu’il a régulièrement touché plus de 100 00 dollars par an en salaire, un montant plus que correct pour l’époque.
Stephen Curry
Dans la famille Curry, on a le shoot dans le sang, et cela a commencé avec le papa. Plus de 1000 matchs NBA pour près de 12 points à 40% de loin, autant dire que Dell Curry n’a jamais manqué d’offres une fois l’intersaison débutée. Surtout, son style de jeu lui a permis de prolonger sa carrière, ne jouant pas sur ses qualités physiques. Résultat, il a su disputer 16 saisons dans la grande ligue, récupérant au passage près de 20 millions de dollars en salaire. Autant dire que Steph n’a jamais manqué de rien !
Joakim Noah
En matière de parents prestigieux, difficile de faire mieux que notre Jooks national. Avant d’être un chanteur à succès, son père Yannick fut une véritable légende du tennis, remportant notamment le tournoi de Roland-Garros en 1983 avant d’être intronisé au Hall of Fame de la discipline. Quant à sa mère Cecilia Rodhe, elle fut Miss Suède en 1978 et sa valeur financière est estimée à 5 millions de dollars. De quoi grandir tranquillement, avant de devenir à son tour un multimillionnaire et un excellent joueur de basket.
Ce que l’on peut retenir de tout ça, c’est que malgré leur situation financière, ces trois joueurs ont su sortir de leur zone de confort pour aller se faire un nom (et des millions) grâce à leur skills. Chapeau bas, messieurs !