Tony Parker est un homme qui aime toucher à tout. De superstar NBA, il est devenu propriétaire de franchise avec l’Asvel, preuve qu’il a plusieurs cordes à son arc. En 2007, il est même passé derrière le micro pour tenter sa chance dans le rap… 14 ans après, il a expliqué les raisons qui l’ont poussé à faire un album.
Pour les fans de basket et les fans de sport en général, Tony Parker restera à tout jamais comme l’un des meilleurs meneurs de l’histoire de la NBA, et comme l’un des meilleurs porte-drapeaux du sport français à l’international.
Pour les autres, qui n’ont jamais eu le moindre intérêt pour la balle orange, le nom de Tony Parker n’évoque peut-être qu’un passage rap/musique plutôt décrié au milieu des années 2000… Pour vous faire une idée de son flow, vous pouvez retrouver ses 15 pires (ou meilleures) punchlines dans cet article.
En effet, en 2007, quelques mois seulement avant de remporter son troisième et avant-dernier titre NBA, le légendaire meneur des Spurs était passé des parquets au studio pour nous offrir l’album « Tony Parker« . S’il a été moqué par beaucoup pour cette tentative audacieuse, lui ne regrette absolument rien. Comme il l’explique à nos confrères de Konbini, cet album était aussi… thérapeutique.
Je suis quelqu’un de très, très curieux, qui aime bien prendre des risques, et à l’époque, la musique faisait partie de ma vie. C’était vraiment un bol d’air pour moi. Il y avait tellement de pression avec les Spurs… C’était génial pour se changer les idées. Puis j’ai fait des rencontres comme Booba, Jamie Foxx, Fabolous…
Je suis fier de cet album ! Que tu aimes ou non, la musique est quelque chose de subjectif. J’aime aimé faire l’album, et je suis passé proche du disque d’or à l’époque. J’ai même fait des tournées avec 2 ou 3 concerts, j’ai fait le Hit Machine. Les gens ont oublié que j’ai réussi tout ça ! Mais ce n’était pas compatible avec ma carrière.
La méthode musicale pour se détendre a été efficace, puisque Tony Parker a été champion juste après la sortie de son album ! Heureusement, il n’a pas eu besoin de retourner au studio pour le titre de 2014…