LeBron James aura dû patienter 4 ans, mais ça y est, il a enfin eu le droit de soulever le trophée Larry O’Brien pour la 4ème fois de sa carrière. Dès que le buzzer a retenti, une chose prticulière lui est d’ailleurs revenue en tête.
LeBron James rentre un peu plus dans l’histoire. Pour sa 10ème apparition en Finales, le King est ressorti victorieux pour la 4ème fois de sa carrière. Il est venu dans la bulle avec pour seul objectif de repartir avec un trophée. Il quitte Orlando avec 2 : le MVP des Finales, et surtout le Larry O’Brien.
Après une première saison galère avec les Lakers, où il a manqué les playoffs pour la première fois depuis 2005, LeBron est revenu à la charge dès la saison suivante. Avec Anthony Davis en renfort, il a accompli ce pourquoi il est venu : accrocher une nouvelle bannière au plafond du Staples Center. Il a révélé sa première pensée une fois le titre assuré :
« First thing you think about is how much work you’ve put in over the course of the year. » – @KingJames pic.twitter.com/CTgmGi2Fa2
— NBA (@NBA) October 12, 2020
Lorsque vous êtes capable de vous mettre dans cette position pour pouvoir gagner un titre de champion, la première chose à laquelle vous pensez est la quantité de travail que vous avez fourni au cours de l’année…
Combien vous avez sacrifié, combien vous avez consacré au jeu et à votre métier. Cela a toujours été la chose la plus gratifiante pour moi, à part voir mes coéquipiers aussi heureux. C’est de savoir que l’on peut travailler littéralement sur le processus et voir les résultats.
Et je ne pense pas seulement du point de vue d’un joueur de basket, mais de celui de tout le monde. Quel que soit le métier, quel que soit le travail, l’espace dans lequel vous êtes. Pouvoir travailler directement au cours du processus, construire au cours du processus et être capable de voir les résultats. Je pense que nous vivons tous pour ce moment.
LeBron est heureux de voir le travail achevé et bien fait. C’est la quatrième fois dans trois franchises différentes qu’il arrive à construire quelque chose d’aussi grand, c’est ce qui fait de lui depuis des années un prétendant au GOAT.