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Loin de la bulle NBA suite à la très mauvaise saison des Warriors, Stephen Curry aurait bien aimé être de la partie. A vrai dire, le meneur avoue même avoir souffert d’un vrai syndrome maladif à cause de ça : le FoMo. Explications.
Depuis juillet, la NBA est officiellement de retour à Orlando. Mais afin de limiter les risques et d’atteindre rapidement les playoffs, les équipes mal classées n’ont pas été invitées dans la bulle. Elles sont 8 au total, dont les Warriors et leur piètre bilan de 15 victoires pour 50 défaites.
Une campagne ratée pour les Dubs, la faute principalement aux blessures. Steph Curry n’a pu jouer que 5 matchs au total cette saison, et un seul en 2020. Le meneur a forcément des regrets de ne pas avoir pu aider les siens à remporter des rencontres.
Alors aujourd’hui, Steph Curry est forcé de regarder la NBA depuis chez lui, et de voir les autres stars évoluer dans la bulle. Un moment compliqué pour lui, comme on peut facilement l’imaginer. Dans une interview avec le New York Times, il a même confié avoir souffert d’un syndrome maladif à ce sujet, les premiers jours de la reprise.
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J’étais évidemment content de retrouver du basket à la télé, mais durant la première semaine, j’ai eu un problème important avec le syndrome FoMo (« fear of missing out », la peur de rater quelque chose, ndlr). Une fois que tu vois LeBron, Kawhi et Paul George sur un parquet, tu te rappelles à quel point c’est fun de jouer ces matchs, et ça te manque terriblement.
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le syndrome FoMo, il s’agit de la peur de manquer un événement, de ne pas être au courant de tout. Sur Wikipedia, on trouve cette explication assez claire :
Une étude de Andrew Przybylski montre que le FoMo se produit fréquemment chez les personnes qui possèdent des besoins psychologiques insatisfaits
En clair, Steph Curry aurait aimé être dans la bulle pour vivre tout ça de l’intérieur. Son absence entraine donc un besoin psychologique non satisfait (jouer, accessoirement être sous les projecteurs).
Steph Curry voulait être dans la bulle, et vivre tout ça. Le meneur en aura peut-être l’occasion, surtout si la saison 2020/21 adopte un système similaire.
