Avec plusieurs phrases polémiques à son actif depuis son arrivée dans la bulle sanitaire, Dwight Howard ne s’est pas fait que des amis. Heureusement, le pivot des Lakers a du soutien dans son propre vestiaire.
Pas certain de venir dans cette bulle sanitaire du côté d’Orlando au départ, Dwight Howard a finalement réussi à rejoindre les Lakers pour les aider à remporter un titre. Malheureusement, le pivot fait beaucoup parler de lui au cours des derniers jours, et pas vraiment en bien.
Entre sa déclaration pour le moins douteuse sur les vaccins et celle sur les masques, ainsi que le refus d’excuses qui a suivi, Howard s’est attiré de nombreuses critiques dans la dernière semaine.
Le pivot ne comprend par exemple pas pourquoi il faut absolument porter un masque quand on est seul. C’est pourtant l’une des directives de la ligue, qui souhaite que chacun porte un masque, et à chaque instant en public. Une règle pour le moins contestable selon Dwight, qui a été rattrapé par la patrouille une fois.
Lire aussi | Un grand média US détruit Dwight Howard dans un article houleux
Mais après avoir subi plusieurs tacles, dont le dernier en date signé CJ McCollum, D12 a eu le droit à un peu de soutien. C’est Jared Dudley qui donne son avis à The Athletic :
Je peux comprendre le point de vue de Dwight. Nous sommes testés tous les jours. Chaque personne dans la bulle est négative, donc pourquoi aurait-on besoin de porter ce masque ?
Soyons honnêtes, nous faisons ça par précaution. C’est le cas, en tout cas je le vois ainsi. Comment quelqu’un peut-il attraper le coronavirus ici ? C’est une bonne question à poser.
La NBA anticipe et prendre de grosses précautions dans la bulle, il est vrai. Mais cela semble nécessaire, car les enjeux sont trop importants pour prendre des risques. Quoi qu’il arrive, et peu importe ce que pense Howard, il doit se conformer aux règles en vigueur, comme le lui l’a rappelé son coach Frank Vogel.
Jared Dudley comprend le point de vue de son coéquipier. Un peu de soutien bienvenu pour un Dwight Howard sous le feu des critiques.