NBA – Les 3 meilleures choses aux Lakers, selon Danny Green

Pour sa première saison sous les couleurs des Lakers, Danny Green vit un rêve éveillé. C’est le joueur lui-même qui l’affirme, en ciblant trois raisons pour expliquer ce bien-être à Los Angeles.

À 32 ans et après avoir acquis sa deuxième bague de champion avec les Raptors, on pouvait penser Danny Green prêt à s’installer durablement au Canada. Une franchise bien gérée, un collectif très rodé et rempli de grands potentiels malgré le départ de Kawhi Leonard… Les raisons étaient multiples pour envisager une telle possibilité.

Mais les sirènes de Los Angeles et de LeBron James ont été trop fortes. Bien qu’il n’ait plus rien à prouver dans la ligue après une riche carrière de 10 saisons, le shooteur a toujours faim de trophées. Un appétit certainement développé chez les Spurs, et qui l’a poussé à rejoindre la Cité des Anges l’été dernier pour devenir l’un des rouages essentiels du roster de Frank Vogel.

S’il réalise un exercice moins abouti que la saison dernière d’un point de vue statistique (8.2 points à 37.8% à 3 points, 3.4 rebonds), son apport en terme de spacing et de défense reste capital pour sa nouvelle équipe. Titulaire indiscutable – il a débuté les 61 matchs auxquels il a pris part dans le cinq, son intégration n’a posé aucun problème, à l’image de l’ensemble des pièces rapportées par les Lakers depuis plusieurs mois.

Et même en l’absence de matchs à cause du coronavirus, Danny Green aide encore et toujours sa franchise. Il s’est ainsi chargé de l’animation des réseaux sociaux de cette dernière ce lundi soir, en répondant aux questions des fans angelinos. Il a notamment dû désigner les meilleurs aspects qu’implique le fait d’être un joueur Purple&Gold.

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Q: #AskDanny What’s the BEST part about being a Laker?
Maybe, the city itself, maybe it’s working with AD or Lebron?
– @EUPHORIA1997

A: @DGreen_14 pic.twitter.com/BwwL9LZ32F

— Los Angeles Lakers (@Lakers) March 30, 2020

Je dirais déjà les fans, la réponse évidente. Numéro 2, vivre à Los Angeles, et le soleil. Je reçois chaque jour le coup de boost et les vitamines dont tout le monde a besoin, et dont j’ai besoin, bien sûr. Donc, oui, j’adore la ville, j’adore le soleil, la météo, et les fans. 

En effet, les conditions météorologiques sont bien différentes sur la côte Pacifique qu’à Toronto. L’arrière peut également savourer l’environnement de joueurs dans lequel il évolue, avec de sacrés boute-en-train dans l’effectif. Un aspect qu’il a relevé lorsqu’il a dû évoquer le moment le plus drôle de sa saison.

Q: #AskDanny What is the Funniest moment from this season ?
– @EliteLakeShow

A: @DGreen_14 pic.twitter.com/WgTrw6VwjZ

— Los Angeles Lakers (@Lakers) March 30, 2020

Je dirais quand on est sorti de l’avion… Je ne sais plus où c’était. Peut-être Utah, ou Minnesota, quelque chose comme ça. Et JaVale a lancé une boule de neige sur Kuz’. Il est tombé plutôt lourdement, mais très doucement. C’était vraiment une chute en slow motion. C’était trop marrant. De les voir sortir de l’avion et faire les clowns comme ça, c’était probablement le moment le plus drôle de la saison.

S’il vous fallait encore une preuve pour pouvoir l’attester, Danny Green se sent on ne peut mieux dans son nouvel environnement à Los Angeles.