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Plus grande dynastie de l’histoire, les Bulls ont dominé outrageusement la décennie 90. Une stat absolument invraisemblable appuie cette affirmation, et rend hommage à la grandeur de Michael Jordan.
Unanimement considérés comme la plus grande dynastie de tous les temps, les Bulls de la décennie 90 ont marqué l’histoire. En 9 saisons entre 1990 et 1998, ils ont participé à six finales et les ont toutes remportées.
Mais si le club a bâti une réelle dynastie à cette époque, c’est par la manière dont ils ont dominé : avec deux three-peat. Le premier de 1991 à 1993, le second de second de 1996 à 1998.
Certes, Michael Jordan a été absent plus d’une saison et demie, entre l’automne 1993 et le printemps 1995. Mais lorsqu’il était là ? C’est simple, les Bulls ont réalisé une performance absolument légendaire : ne jamais perdre deux matchs consécutifs.
#TBT Hate to lose 😤 pic.twitter.com/NqzAY6iU6B
— Jumpman History (@HistoryJumpman) February 27, 2020
Entre novembre 1990 et juin 1998, les Bulls n’ont jamais perdu plus de deux matchs consécutifs quand Jordan jouait.
En d’autres termes, sur la décennie, Michael Jordan a remporté 6 titres sans jamais perdre plus de 2 matchs de suite.
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Car oui, évidemment que Michael Jordan était dans le coup. Comment ne pas citer son nom si on parle des Bulls de cette époque ? L’arrière et son club étaient absolument allergiques à la défaite. Ils perdaient un match ? Rien de dramatique, ça arrive à tout le monde.
Mais les hommes de Phil Jackson s’assuraient de remettre les pendules à l’heure dès le match suivant, ou, au pire du pire, à celui d’après. Impressionnant.
Pour le plaisir, on conclut avec les highlights du dernier match en carrière de Jordan, son chef d’œuvre ultime, le Game 6 des Finales 1998.
Quelle époque, et quelle équipe. Les Bulls ont survolé la décennie 90 en NBA comme rarement une équipe de sport professionnelle l’a fait dans l’histoire. Un chef d’oeuvre collectif à jamais gravé dans l’histoire de la grande ligue.
