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Avec un début de saison impressionnant, les Celtics rêvent de jouer le titre pour juin prochain. Sans Kyrie Irving et avec Kemba Walker, la franchise revit et elle ne changerait ça pour rien au monde.
On n’attendait pas les Celtics à ce niveau, mais ils sont bien là, à la troisième place de la conférence Est à égalité avec les Raptors et le Heat. Les hommes de Brad Stevens possèdent un excellent bilan de 12-4 et peuvent rêver d’une grosse saison au vu de leur forme.
Kemba Walker a propulsé la franchise à un autre niveau et si les blessures ne les gênent pas, les C’s vont être une équipe à suivre. Seul bémol ? Une amélioration dans la raquette ne serait pas de trop.
Qu’importe, Boston réalisé un gros début de saison et il faut dire que ce n’était pas évident à voir avec les pertes de l’été. On pense à celle de Kyrie Irving, bien remplacé par Kemba Walker. L’ancien Hornet allait-il être à la hauteur pour sa première saison loin de la Caroline du Nord ? La réponse est oui, largement.
Et il faut croire que ce changement est bénéfique au sein de la franchise. C’est ce qu’explique The Athletic via Jay King.
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Le bon côté ? Sans autant de joueurs réclamant le ballon et des minutes, l’équipe n’a plus autant de maux de tête qu’avant. Les Celtics semblent plus tranquilles dans tout l’effectif. L’absence d’Irving est loin d’être le seul changement, mais plusieurs sources ont indiqué que son départ – et l’arrivée de Walker – ont aidé à améliorer l’atmosphère dans la pièce. C’est « le jour et la nuit » selon une source. Une autre explique « qu’on peut le sentir à chaque instant ».
Un exemple du comportement de Kyrie qui a laissé beaucoup de gens perplexes chez les Celtics ? Après le match 1 contre les Bucks, alors que les C’s avaient réussi à l’emporter, Uncle Drew s’est « coupé » du reste de l’équipe. Alors que tout le monde s’entraînait sur le parquet, il a préféré monter s’isoler en haut de la salle, sans parler. Une autre fois, un membre du staff raconte qu’il a passé une trentaine de vols dans le siège à côté d’Irving… sans jamais entendre le son de sa voix.
Critiqué par plusieurs sources depuis son arrivée aux Nets, Irving aurait eu quelques sautes d’humeur qu’il n’a pas niées. En revanche ses coéquipiers et son coach l’ont rapidement défendu. Ce ne devrait pas être le cas à Boston où l’absence de Kyrie semble donc être transformée. Un meilleur collectif et une meilleure cohésion d’équipe : les Celtics espèrent bien en profiter pour réaliser une grosse campagne.
Ce n’est pas la première fois que Kyrie Irving sera critiqué ainsi, et sans doute pas la dernière.
