Giannis Antetokounmpo est allé devant la justice pour poursuivre un peintre, qui vendait des chemises à son effigie sans permission. Et le MVP n’apprécie pas trop qu’on utilise son surnom sans autorisation à des fins commerciales.
Se faire de l’argent sur le dos du « Greek Freak » ? Ça, jamais ! Giannis Antetokounmpo a découvert qu’un peintre, nommé Jinder Boghal, vendait des chemises marquées de son surnom, qui plus est avec une remise de 10% sur la collection « Greek Freak » en ce moment. Problème : Giannis détient les droits de la marque « Greek Freak » pour l’utiliser à des fins commerciales. Et il prétend que Boghal n’a jamais demandé l’autorisation.
Pas du genre à plaisanter avec ça, Giannis a envoyé à l’artiste une lettre de cessation et d’abstention pour la vente de ces produits. Il n’aurait jamais reçu de réponse. Il n’a donc pas eu d’autre choix que de le poursuivre en justice pour violation de la marque commerciale. La star des Bucks pourrait toucher jusqu’à 2 millions de dollars en cas de victoire au procès, si procès il y a.
Ce serait bien dommage pour un artiste ayant à peine 500 abonnés sur Instagram de tout perdre à cause de cette grosse erreur. Conscient de sa boulette, Boghal aurait contacté l’équipe de Giannis afin de résoudre le problème.
Selon TMZ Sports, il se dit « entièrement coopératif avec leur demande de retirer toutes les marchandises des Greek Freak de son site. » Si vous souhaitez découvrir Jinder Boghal, on vous propose ci-dessous quelques unes de ses œuvres publiées sur son compte Instagram.
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On espère que tout va bien se terminer, sans aller jusqu’au tribunal. L’artiste devrait avoir retenu la leçon pour la suite.