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Avec le sacre des Raptors, Danny Green remporte le second titre de sa carrière, après un premier en 2014 avec les Spurs. Et le joueur a dévoilé lequel des deux était son titre préféré.
Fort de ses deux titres de champion NBA, Danny Green peut s’adonner au jeu des comparaisons. En effet, avant d’avoir remporté le titre en 2019 avec son actuelle équipe des Raptors, Danny Green avait déjà pu inscrire un titre sur son palmarès avec la victoire finale en 2014 pour le compte des Spurs.
Dimanche, les journalistes lui ont justement demandé lequel de ses deux titres était le plus gratifiant. La réponse de l’intéressé n’est pas aussi neutre qu’on aurait pu s’y attendre.
Relayé par Ryan Wolstat du Toronto Sun, Danny Green pense que le titre de cette année avec les Raptors est bien le plus gratifiant. La raison ? Le fait que la gagne était la norme à San Antonio, et qu’il était encore jeune à l’époque. Green a déclaré mieux comprendre désormais ce qu’il fallait faire pour gagner un championnat, et donc mieux apprécier.
L’arrière, qui avait été envoyé des Spurs aux Raptors dans le deal Leonard/DeRozan, a eu un rôle important pour son équipe durant la saison. Avec 10.3 points, 4 rebonds, et son énorme 45.5% à 3 points, Green a apporté à son équipe une belle incroyable. A cela s’ajoute une défense toujours impeccable, avec un Defensive Box Plus-Minus toujours positif, à 1.2.
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Durant ces Finales, il ne s’est pas ménagé en défense, avec ses confrontations contre Klay Thompson et Stephen Curry sur les lignes extérieures. Mais ses capacités défensives ont été au rendez-vous durant l’intégralité de ces Playoffs 2019, avec un très bon Defensive Box Plus-Minus à 2.3.
Danny Green sera agent libre cet été, tout comme son coéquipier de toujours ou presque, Kawhi Leonard (qui ne devrait pas activer son option joueur à 21 millions de dollars). Son retour aux Raptors n’est pas certain. Mais quelle que soit sa destination, Danny Green pourra apporter à son équipe une adresse, une défense, et une expérience digne des meilleurs role players de la NBA.
Danny Green sera assurément, l’air de rien, un joueur bien courtisé dans ce marché des agents libres. Ira-t-il voir ailleurs pour gagner le titre avec une troisième équipe ? Il rejoindrait alors Robert Horry et John Salley dans l’histoire.
