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Kawhi Leonard et Danny Green avancent main dans la main vers un premier titre NBA. Et alors qu’ils se connaissent depuis plusieurs années maintenant, Danny revient avec une pointe d’humour sur sa première rencontre avec Kawhi.
Tous deux envoyés à Toronto au cours de l’été 2018, Danny Green et Kawhi Leonard se connaissent depuis maintenant un moment. Leur première rencontre remonte à 2011 pour être exact, aux alentours de la Draft qui verra débarquer le Klaw en NBA.
Tim Bontemps, journaliste pour ESPN, a d’ailleurs récemment demandé à Danny Green ce qui l’avait marqué lors de sa première entrevue avec Kawhi. Sa réponse est plutôt amusante :
Juste… comme ses bras étaient longs et comme ses mains étaient grandes. Il était comme une sorte… d’expérimentation scientifique.
Et quand on voit la taille des membres de Kawhi, il est effectivement difficile de donner tort à Danny Green. La preuve avec une photo bien assez frappante relayée il y a quelques mois par le compte officiel des Raptors :
Fun fact: Leonard’s hand measures 11.25 inches across from thumb to pinkie & 9.75 inches long. That’s 52% wider than the average man’s hand.
— Toronto Raptors (@Raptors) 17 septembre 2018
6ix Quick Facts » https://t.co/i5rkgxt6rH pic.twitter.com/Qw9Cr0EDEK
La main de Kawhi mesure 28,57cm du pouce à l’auriculaire et 24,76cm de longueur. C’est 52% plus large que la main d’un homme classique.
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Au-delà de l’impressionnant physique de son coéquipier, Danny a livré une analyse sincère et plutôt très juste sur Kawhi, sélectionné en seulement 15ème position de la Draft 2011 par les Pacers puis immédiatement transféré à San Antonio contre George Hill :
Au début, personne ne pouvait savoir ce qu’il allait devenir. Personne ne pouvait prédire ça. Personne ne le voyait comme quelqu’un de spécial.
Je pense qu’il y a quelques années, quand il commençait à percer, il y avait beaucoup de : « D’où est-ce que sort ce gars bordel ? »
En arrivant dans la ligue c’était un joueur défensif, et il est devenu un joueur de un contre un en attaque capable de tirer de loin.
Mais quand il a commencé à émerger, je pense que les équipes étaient genre : « Wow »
A date, il est en effet très difficile de ne pas dire « wow » face aux prestations de Kawhi Leonard, qui régale tout simplement en playoffs et mène les Raptors vers un premier titre NBA. Une année seulement après son arrivée. D’ailleurs, si Toronto soulève le trophée Larry O’Brien, nul doute que the Klaw sera également gratifié du MVP des Finales.
Pendant que dans le Texas on se mord les doigts, la température grimpe sérieusement dans les froides latitudes canadiennes. Certains diront réchauffement climatique, d’autres parleront de réchauffement Kawhitique.
