Saviez-vous que Russell Westbrook et Kevin Love étaient colocataires fut un temps ? Les faits remontent à leurs années universitaires. Une période relativement… chaude selon Kevin Love. Il raconte son joyeux calvaire.
Sélectionnés tous les deux lors la Draft 2008, Kevin Love et Russell Westbrook ont également joué ensemble à l’université de Californie, dans l’équipe des Bruins d’UCLA. Et dès les premiers instants, ces compères étaient fait pour s’entendre (ou pas) : lors de leur toute première rencontre, Westbrook s’était par exemple illustré avec une moquerie sauvage sur Kevin. Vous voyez un peu le niveau.
Mais en plus de porter le même maillot des Bruins entre 2007 et 2008, les jeunes Kevin et Russell étaient colocataires et se partageaient une chambre dans le dortoir commun.
Une période dont Love se rappelle encore très bien aujourd’hui… puisqu’un problème récurrent venait hanter chacune de ses pauvres nuits. C’est ce qu’il révélait dans une hilarante interview en mai 2017.
Russ et moi, on se battait pour le chauffage. Il faisait genre 24-25 degrés dans la chambre, mais il se réveillait au milieu de la nuit et montait encore le thermostat. Moi j’avais l’habitude de dormir à 20 degrés, la différence était énorme. J’ai galéré à cause de ça. Je me réveillais au milieu de la nuit, tout transpirant, j’arrivais pas à dormir.
Pour mieux comprendre ces problématiques de « thermostat » dans la chambre, petite piqure de rappel sur les deux compères. S’il est né à Los Angeles, Kevin Love a passé son enfance dans l’Oregon, soit beaucoup plus au Nord du pays. Un Etat américain au climat plutôt froid et relativement pluvieux par rapport à la Californie.
De son côté, Westbrook est également né à Los Angeles, mais à la différence de son colocataire, il y a passé son enfance, au sud du centre-ville. Il a donc toujours été habitué à vivre dans un climat chaud, d’où sa tendance à monter la température dans la chambre… au plus grand regret de son comparse.
Compliqué de vivre avec Russell Westbrook ? Kevin Love vous dira que oui, mais aucun doute sur le fait qu’il en garde quand même de merveilleux souvenirs.