NBA – Spurs et Timberwolves mentionnés dans un même dossier majeur, les révélations d’un insider

Les joueurs NBA français Rudy Gobert (gauche) et Victor Wembanyama (droite)
Bally Sports (DR) / NBA (DR)

Par Pierre-Andréa Fraile | Journaliste sportif

Bien que situés à des stades différents dans l’avancée de leur projet, les Spurs et les Timberwolves n’ont jamais caché leurs ambitions cette saison, et notamment sur le marché. De quoi expliquer leur intérêt commun pour une grosse cible, tout juste révélé.

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En l’état, difficile de les placer sur un même palier. Un simple coup d’œil au classement permet en effet de distinguer les Timberwolves, 8èmes à l’Ouest et candidats affirmés aux playoffs, et les Spurs, 13èmes et qui ne vivront la postseason qu’en tant que spectateurs. Or, les deux équipes pourraient tôt ou tard se retrouver à jouer les premiers rôles dans leur conférence et cherchent dès lors pour cela à se renforcer.

Le gros poisson visé à la fois par les Spurs et les Timberwolves

Menés par deux futures superstars de la ligue, à savoir Victor Wembanyama et Anthony Edwards, Spurs et Timberwolves souhaitent d’ores et déjà étoffer leur supporting cast et leur permettre de lutter pour le titre. C’est d’ailleurs ce que leurs dirigeants ont tenté de faire en marge de la dernière trade deadline. Et selon Michael Scotto de HoopsHype, cela les aurait conduit à se retrouver à la lutte dans un dossier de taille :

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Michael Scotto : Le plus important pour les Nets va être de savoir si Cam Johnson sera encore là l’an prochain, sachant qu’il a généré beaucoup d’intérêt avant la trade deadline. D’ailleurs, j’ai entendu dire que certaines équipes qui n’ont selon moi pas été citées jusqu’ici se sont renseignées : les San Antonio Spurs, qui cherchaient un shooteur pour accompagner Victor Wembanyama, et les Minnesota Timberwolves.



Considéré à cette époque comme l’un des gros poissons accessibles sur le marché, Cam Johnson ne manquait certainement pas de courtisans. Les Lakers ont par exemple longtemps été annoncés comme une destination plausible, au même titre que les Warriors, qui n’ont toutefois jamais réussi à s’entendre avec le front office de Brooklyn. De quoi expliquer le départ avorté de l’ailier de 29 ans.

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L’histoire ne dit pas si San Antonio et Minnesota ont également entamé de véritables négociations avec les Nets afin de s’attacher ses services. Quoi qu’il en soit, son nom figurait bien dans leur liste de vœux… et pourrait potentiellement s’y retrouver cet été. Après tout, son avenir à Brooklyn reste incertain, tant sa production et son contrat relativement abordable ont de quoi attiser les convoitises.

Reste à savoir si son profil correspond toujours aux critères que recherchent Spurs et Wolves. Selon toute vraisemblance, les deux équipes affichent toujours certaines lacunes au niveau des ailes et ne cracheraient pas sur l’arrivée d’un shooteur extérieur aussi fiable que Johnson. La concurrence, elle, s’est renforcée dans ce secteur, ce qui leur laisse potentiellement le champ libre pour lancer une nouvelle offensive.

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Malgré les multiples approches dont il a fait l’objet, Cam Johnson a poursuivi sa route à Brooklyn suite à la trade deadline. Son futur pourrait toutefois s’écrire ailleurs, et pourquoi pas à San Antonio ou Minnesota, où son profil était soi-disant apprécié.

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