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Par Rédaction | Sport
Zaccharie Risacher n’est pas devenu n°1 de la draft grâce à son seul talent. C’est aussi un jeune homme qui a la tête bien remplie, et cela se voit sur le terrain. D’ailleurs, c’est ce qui fait la fierté de sa maman, Sandrine, qui a pris la parole sur le sujet.
La famille Risacher est la personnification de la réussite sportive. Stéphane, le père, est un ancien international français qui a transmis son amour de la balle orange à ses deux enfants. Zaccharie, le plus grand, formé à l’ASVEL et à la JL Bourg, a été sélectionné avec le premier choix de la dernière draft NBA, où il s’éclate depuis.
Quant à Aïnhoa, la dernière, elle évolue actuellement dans le club de Tony Parker, avec qui elle a participé à une demi-finale d’EuroCup ces dernières semaines. À seulement 17 ans, elle montre des promesses qui attirent déjà les scouts WNBA. Elle s’envolera d’ailleurs bientôt pour le Nike Hoop Summit, qui oppose chaque année les meilleurs prospects internationaux aux meilleurs Américains.
Sandrine Risacher honnête sur ses enfants
Et derrière tout ce beau monde, il y a une mère, Sandrine, qui veille au grain pour que ses enfants réalisent la carrière la plus aboutie, tout en étant épanouis. Elle a d’ailleurs été interrogée par nos confrères de L’Equipe à ce sujet, et ce qui la rend fière, ce n’est pas forcément la réussite sportive. La bonne éducation de Zaccharie et Aïnhoa est un accomplissement bien plus important.
Quand je dis que nous sommes un clan, c’est une manière de dire qu’on partage toutes les infos tous les quatre. On s’est toujours beaucoup parlé, notamment à table, sans téléphone ni télé allumée. En fait, je suis presque plus fière de leur bonne éducation, de leur attitude sur et en dehors du terrain que de leur réussite sportive, pour le moment.
Je suis mère poule mais je peux les lâcher… enfin pas trop longtemps non plus. Oui, on est prêts, eux aussi. Je préférais qu’ils ne soient pas trop loin pour leur première année pro mais en même temps, rien ne sera jamais trop loin. Ce fut plus rude lorsque Zac est parti à Atlanta l’an dernier. Mais on sait qu’ils ont la tête sur les épaules. Maintenant que leurs carrières sont lancées, on va se poser dans les tribunes et admirer.
Stéphane et Sandrine Risacher ont deux enfants merveilleusement éduqués, qui se distinguent autant par leur humilité et leur simplicité que par leurs performances sportives. Avec le sentiment du devoir accompli, les parents vont désormais pouvoir suivre les carrières de Zaccharie et Aïnhoa depuis les tribunes, avec l’espoir qu’ils aillent le plus loin possible.
Quoi de plus gratifiant pour un parent que de voir ses enfants sur la route du succès. Zaccharie Risacher pourrait devenir Rookie de l’Année dans quelques semaines, Aïnhoa est déjà une joueuse importante à l’ASVEL, que demander de plus ?
