Retraité, le brésilien Ronaldo balance sur ses vices en France : « J’allais à Paris, et là-bas je…

L'ex-footballeur brésilien Ronaldo Nazario, ici accompagné du drapeau de la France
DAZN (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Considéré par de nombreux observateurs comme le plus grand talent brut de l’histoire du football, Ronaldo a vu sa carrière être raccourcie par ses problèmes récurrents de santé. Il faut dire que l’hygiène de vie de l’ancien madrilène était pour le moins contestable, ce qu’il a confirmé en racontant ses vadrouilles à Paris…

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Son palmarès est l’un des plus impressionnants du football, et à juste titre : sur le plan individuel comme sur le plan collectif, Ronaldo a tout gagné. De la Coupe du Monde au Ballon d’Or, de la coupe de l’UEFA à la Ligue des Champions, de la Copa America à la Supercoupe de l’UEFA, le natif de la région de Rio n’a rien laissé aux autres. Et pourtant, malgré cela, de réels regrets subsistent sur son parcours.

L’artiste du ballon rond avait en effet un défaut majeur : perclus d’argent et de notoriété, il faisait la fête. Beaucoup. À outrance. Ces drôles d’habitudes, qui lui ont d’ailleurs valu quelques affichages en règle dans les tabloïds, se sont particulièrement manifestés lors de son passage à Madrid. Et à l’époque, c’est la France qui était l’échappatoire du joueur.

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Ronaldo explique sa routine dingue lors de ses venues à Paris

De passage au micro de « Charla Podcast », le « Fenomeno » a ainsi récemment quelques confidences détonnantes :

On avait entraînement le lundi matin à 10 heures. Si je jouais le samedi, le samedi soir j’allais à Paris. Le dimanche, je passais la journée à Paris et le soir, je faisais la fête. À 7 heures le lundi, je prenais un jet pour retourner à Madrid. J’arrivais à 9 heures, pour l’entraînement à 10 heures.



On imagine que Ronaldo n’était pas en grande forme à cette séance de début de semaine, mais partir à Paris, loin de Madrid, était pour lui une nécessité au regard de son style de vie :

Je faisais ça souvent, parce que dans la ville où tu joues, soit tu fais la fête chez toi, soit tu évites de trop te montrer. Aller en boîte dans la ville où tu joues, c’est signer ton propre arrêt de mort !

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Si ces anecdotes font partie de la légende de R9, elles laissent forcément un goût amer en bouche. Et c’est cet internaute qui l’a résumé le mieux, en une phrase concise mais tellement vraie sur tous ces joueurs brésiliens d’exception :

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Ronaldo ne s’en est jamais vraiment caché, et il n’aurait de toute façon pas vraiment pu le faire : il a profité de sa notoriété en faisant énormément la fête. Le problème, c’est que cette hygiène de vie déplorable a contribué à ses blessures à répétition, et à la fin prématurée de sa carrière au top niveau. Et tous les amateurs de ballon rond ne peuvent que le regretter.

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