En France depuis 2 ans, la star géorgienne Zuriko Davitashvili balance : « Ici, j’ai été surpris de voir…

Zuriko Davitashvili, joueur de l'AS Saint-Etienne
Geo Team (DR)

Par Guillaume K. | Journaliste sportif

Rare éclaircie dans une saison compliquée pour l’AS Saint-Étienne, Zuriko Davitashvili continue de découvrir la vie en France. En seulement 2 années, il a déjà mis le doigt sur une énorme différence entre sa Géorgie natale et l’Hexagone. 

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Pour réussir à atteindre le très haut niveau et avoir une longue carrière, les footballeurs doivent rassembler de nombreuses qualités sportives, mais pas que. En effet, l’aspect mental est au moins aussi important. Déjà parce qu’il faut être capable de gérer la concurrence dans un effectif ou la pression mise par les supporters. 

Surtout, il faut une forte capacité d’adaptation pour s’intégrer le plus rapidement possible après un transfert. Changer d’équipe signifie apprendre un nouveau système, découvrir des nouveaux coéquipiers, mais aussi faire déménager sa famille, parfois même à l’étranger. C’est le cas de Zuriko Davitashvili…

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Zuriko Davitashvili parle de la vie en France

Arrivé à Bordeaux en 2022 après un début de carrière passé en Géorgie puis en Russie, le milieu offensif évolue aujourd’hui du côté de l’AS Saint-Étienne. Dans une récente interview accordée à nos confrères de L’Équipe, il est revenu sur la grosse différence entre la vie quotidienne en France, et celle dans son pays d’origine. 



J’ai été surpris de voir que tous les magasins ferment à 19 heures ici ! En Géorgie, tu peux acheter de tout à n’importe quelle heure.

La grosse différence entre la vie en France et la vie en Géorgie selon Zuriko Davitashvili, c’est l’horaire d’ouverture des magasins. 

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L’avantage qu’ont les joueurs de foot, c’est que hormis les entrainements qui sont généralement le matin, ils ont le temps de faire plein de choses dans la journée. Malgré la fermeture plus précoce qu’en Géorgie, le milieu offensif ne doit pas se presser pour faire ses courses hebdomadaires. Et puis, si c’est la seule contrainte à son adaptation, c’est qu’il se plait dans le pays.

Il ne lui reste plus qu’à apprendre la langue française, qui est particulièrement difficile pour les novices. Il s’exprime pour le moment en anglais dans le vestiaire des Verts et en interview, mais il compte bien faire tomber cette dernière barrière dans les prochains mois. C’est en tout cas ce qu’il exprimait toujours à L’Equipe.

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La vie en France est particulière, et elle nécessite une réelle adaptation à certains. Par exemple Zuriko Davitashvili a été bien surpris la première fois qu’il a tenté de faire ses courses le soir. C’est possible en Géorgie, moins dans l’Hexagone.

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