Après les JO, la gifle de Léon Marchand (22 ans) à Florent Manaudou : « Il est devenu…

Léon Marchand et Florent Manaudou
France TV (DR) / beIN Sports (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Passé dans une toute autre dimension après ses Jeux Olympiques de folie, Léon Marchand est aussi à l’aise dans les bassins qu’il l’est dans la sphère du business. Très habile dans la gestion de son image, le nageur a d’ores et déjà fait exploser ses prix. Au point de reléguer Florent Manaudou et consorts loin, très loin dans le rétroviseur…

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Jusqu’à cet été, il était sportif. Désormais, Léon Marchand est sportif et homme d’affaires, et il le sait. Propulsé chouchou des Français, le nageur affole les compteurs et s’est déjà constitué un portefeuille d’affaires particulièrement impressionnant. Privilégiant la qualité à la quantité, il a ainsi signé avec Oméga et Louis Vuitton. Mais ses prix, eux, n’en finissent plus de s’envoler

L’explosion financière dingue de Léon Marchand

Dans un article très instructif de La Tribune Dimanche, on apprend que le sport-business est sidéré par le statut qu’a pris le jeune homme. Un agent sportif souffle :

Léon est devenu hors marché. Avec certains champions, on sait qu’il ne faut pas être trop gourmand. Avec lui, on ne sait plus. Le chef d’entreprise qui le veut devra mettre le paquet.

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Concrètement, que disent les chiffres ? Ils donnent d’ores et déjà le tournis :

« Léon Marchand peut demander plus de 1 million par an par contrat, certains se sont déjà positionnés sur ces montants », assure un expert. Un autre précise toutefois que « 1,5 million serait une fourchette haute ». Des sommes éloignées de celles proposées aux stars universelles que sont les footballeurs ou les basketteurs de NBA, mais qui le situent dans l’univers d’un Riner.



Surtout, en termes de natation, le quadruple champion olympique met d’ores et déjà de nombreuses longueurs aux autres nageurs français les plus célèbres. « La Tribune Dimanche » indique qu’à leur apogée, Florent Manaudou et Yannick Agnel culminaient autour de 500.000 euros annuels. En un seul contrat bien négocié, Marchand peut s’assurer le triple.

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Désireux de faire perdurer une image associée à des marques de luxe (on l’a d’ailleurs aperçu dans un partenariat avec Porsche), le protégé de Bob Bowman est conscient de la mine d’or qu’il représente. Et tout est réglé aux petits oignons au sein de son clan :

Conseillé par ses parents, deux nageurs olympiens, et par une avocate issue de leur réseau amical, Léon Marchand a opté pour une stratégie qu’il a pris le temps de peaufiner. Surtout à partir de 2023, quand la hype a pris de l’ampleur, boostée par le cliché de Michael Phelps soulevant le bras de son héritier.

Les Marchand n’acceptent que des propositions premium. Et peu chronophages en sollicitations type shooting ou petits-fours, critère décisif pour s’entraîner suffisamment et marquer l’histoire de son sport. Léon Marchand ne prépare pas son après-carrière, mais sa légende. Le jeune homme raffole de ce parfum de faste et d’élégance. Il ne serait d’ailleurs pas étonnant de le voir s’engager avec un nouvel acteur du luxe prochainement…

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Précoce en tout, et même en affaires, comme un certain Kylian Mbappé – les deux clans ont d’ailleurs échangé à plusieurs reprises -, Léon Marchand poursuit son ascension stratosphérique. Déjà largement au-dessus des prétentions salariales de ses aînés pourtant très populaires comme Florent Manaudou, la fusée toulousaine est lancée. Et elle n’est pas prêt de redescendre.

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