Au pied du mur face à Léa Salamé, Arthur (58 ans) avoue son vice dans la vie : « C’est…

Léa Salamé et Arthur
France TV (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Toujours aussi actif, Arthur peut être fier de s’être établi comme l’un des animateurs-producteurs les plus puissants du PAF, voire même le plus puissant. En contrôle à l’écran comme dans sa vie privée, l’ancien présentateur de l’émission « À prendre ou à laisser » a toutefois consenti à une petite confidence sur son seul vice au micro de Léa Salamé. Explications.

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Déjà aperçu aux commandes du « Plus grand concours » récemment sur TF1, Arthur s’apprête à relever l’un des plus gros défis de sa carrière en ressuscitant « Qui veut gagner des millions ? » – avec la bénédiction de Jean-Pierre Foucault, évidemment. Heureux à l’idée d’endosser ce costume pourtant si lourd, l’époux de Mareva Galanter a expliqué :

C’est jeu iconique qui sait mettre les candidats dans une espèce d’angoisse et de stress qui fait que même une question hyper facile devient compliquée à gérer d’un point de vue émotionnel. Cela me rappelle combien j’ai toujours aimé être l’animateur que l’on aime détester et que j’aime bien l’idée de faire partie des derniers des Mohicans de la télévision.

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Arthur confesse son vice face à l’insistance de Léa Salamé

De passage dans la matinale de « France Inter » tout récemment, Arthur a eu droit à l’un des interrogatoires réputés de Léa Salamé. Cette dernière a d’ailleurs reçu à lui faire confesser son vice, mais pas forcément celui auquel elle pensait !

Léa Salamé : « Vous ne buvez pas, vous ne fumez pas. Vous avez des vices ? »

Arthur : « Ouais ».

Léa Salamé : « Le sexe ? »



Arthur : « J’aimerais bien ! (rires) Vous voulez qu’on en parle après l’émission ? Non non, je n’ai pas de vice. Ah si, le chocolat, comme tout le monde…

Qu’Arthur se rassure : il n’est pas le seul. Avec une consommation annuelle moyenne de de 6,4 kg par habitant, la France se classe 10ème mondiale en matière de consommation de chocolat.

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L’autre « drogue » de l’animateur, encore plus saine et qui lui manque ? La radio. Car s’il est surtout connu pour ses activités télévisuelles, le quinquagénaire a longtemps oeuvré sur les ondes. Et cette absence se fait de plus en plus ressentir, comme il l’a confié :

La radio, c’est une drogue, je suis beaucoup plus addict que la télé. J’ai arrêté depuis dix ans et à chaque fois que je suis devant un micro, c’est comme si je prenais une espèce de shoot d’adrénaline, de relation avec l’auditeur parce qu’il y a une authenticité qu’il n’y a pas à la TV, la radio, elle, a su se passer des images et fait travailler différemment l’imaginaire.

Chacun est dans son univers, et c’est ce qui fait qu’il y a une relation particulière avec l’auditeur qu’on n’a pas avec le téléspectateur. Aujourd’hui, je me dis même pourquoi pas revenir un jour à la radio.

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Du genre à mener un mode de vie sain et équilibré, Arthur fait d’autant plus attention que les années passent et qu’il s’approche du cap de la soixantaine. Impossible toutefois pour l’animateur-producteur de faire une croix sur le chocolat, qu’il estime être son plus grand vice. Et honnêtement, on le comprend !

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