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Par Mathieu S. | Rédacteur NBA
Toujours inactifs sur le marché de la free agency, les Lakers réfléchissent à de multiples possibilités, dont un trade en cours de saison. Plusieurs cibles à suivre, dont une qui mène aux Wizards. Malheureusement, les Angelinos ne sont pas les seuls intéressés.
Malgré une lourde défaite lors des derniers playoffs, les Lakers ont été plutôt discrets sur le marché jusqu’à maintenant. Pas de gros trade pour la franchise, qui a décidé de signer JJ Redick et de recruter deux joueurs via la draft, dont Bronny James. Suffisant pour remporter le titre NBA ? Sans doute pas, mais Rob Pelinka et son staff sont persuadés d’avoir un roster taillé pour le championnat.
De la concurrence pour les Lakers sur le marché ?
Ce sentiment n’est pas partagé par les supporters, inquiets concernant la qualité du roster. Seule bonne nouvelle ? Pelinka n’exclut pas la possibilité de recruter quelqu’un en cours de saison, avec un joueur comme Jonas Valanciunas. Mais le nouveau membre des Wizards est très suivi, y compris par les Knicks selon le journaliste Ian Begley.
REPORT: Nick Richards, Walker Kessler, Robert Williams and Jonas Valunciunas are potential targets for the Knicks.
— Legion Hoops (@LegionHoops) September 13, 2024
(via @IanBegley, @WindhorstESPN) pic.twitter.com/bkEud8vRZ7
« Nick Richard, Walker Kessler, Robert Williams et Jonas Valanciunas sont des cibles potentielles pour les Knicks. »
On dirait qu’à l’instar des Lakers, les Knicks sont déterminés à trouver un nouveau pivot sur le marché. De la concurrence en plus pour les Angelinos et disons que ce n’est pas une bonne nouvelle. Beaucoup de fans ont réagi à la nouvelle, et pas forcément en bien.
Lakers
— BrownsMuse (@CleBrownsMuse) September 13, 2024
Rob Pelinka please do something
— zaiire 💫 (@_zaiire_) September 13, 2024
Rob Pelinka s’il te plaît fais quelque chose
Avec la blessure de Christian Wood, les Lakers ont besoin d’un pivot. Leur secteur intérieur est affaibli et les internautes craignent le pire pour la suite, surtout qu’il n’y a pas de pitié sur le marché. Et les Knicks en sont la preuve.
