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Par Mathieu S. | Rédacteur NBA
Forcément un peu déçu de ne pas avoir pris l’or durant les Jeux Olympiques, Evan Fournier reste malgré tout fier du parcours de l’équipe de France. Il regrette cependant l’ambiance en France durant certains matchs, et il souligne un point important.
Mal embarquée quand on revoit la phase de poule, l’équipe de France a malgré tout récupéré une superbe médaille d’argent lors des Jeux Olympiques de Paris. Difficile d’espérer mieux face à Team USA en finale, bien que les hommes de Vincent Collet peuvent être fiers de leur performance. Les joueurs sont satisfaits, même si personne n’aurait dit non à la médaille d’or.
Manque de soutien lors des JO pour les Bleus ?
Tout était possible lors de ces JO, surtout avec le soutien du public. La foule était majoritairement française, du moins au départ. La donne a changé lors de la phase finale et notamment au dernier match, où on a vu beaucoup de personnes soutenir Stephen Curry et ses coéquipiers avec Team USA. Et ça, Evan Fournier l’a bien senti, lui qui a préféré l’ambiance de 2015, à l’Eurobasket.
2015 etait mieux selon moi. Ca sexplique par la presence de fans de basket et non des gens du monde entier qui sont juste venu voir un événement sportif. https://t.co/ztmByFygiU
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) August 30, 2024
L’Eurobasket avait eu lieu en France pour rappel lors de la phase finale, et l’ambiance n’était clairement pas la même selon Fournier. Il faut dire que l’organisation des JO a visé un public international pour cette finale notamment, quitte à snober de nombreux Français qui auraient aimé venir pour soutenir les Bleus. La faute à des prix parfois excessifs et à de nombreuses places VIPs.
Et cela peut faire évidemment une grosse différence à l’arrivée, comme certains semblent le regretter. Même entre Lille lors de la phase de groupe et Paris pour la phase finale, Fournier a ressenti un sacré changement.
Ouai clairement
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) August 30, 2024
Evan Fournier a clairement ressenti ce changement d’ambiance à Paris, que l’on compare à l’Eurobasket de 2015 ou alors les matchs à Lille lors de la phase de groupe. Dommage, car les joueurs n’auraient pas dit non à plus de soutien.
