Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Si son parcours professionnel est loin de ne se résumer qu’à cela, Victoria Silvstedt reste surtout connue des Français pour son rôle de co-présentatrice de « La roue la fortune » sur TF1 entre 2006 et 2011. Une expérience contrastée pour la Suédoise qui, depuis ces quelques années passées aux côtés de Christophe Dechavanne, a gardé un étonnant complexe…
Plus discrète à la télévision aujourd’hui, Victoria Silvstedt a continué de faire fructifier son empire personnel bien loin des caméras, notamment dans le monde des affaires. Pour autant, l’ex-bimbo ne renie pas ses quelques années passées à tourner les lettres dans « La roue de la fortune », même si l’aventure s’est finie en eau de boudin avec Christophe Dechavanne. Elle expliquait ainsi à Maxime Riou en 2022 :
Au début, les deux premières années étaient super. À la fin, c’est devenu plus dur parce que, je ne sais pas… Peut-être qu’il a un peu commencé à prendre la grosse tête. Mais je lui parle toujours. On est amis, mais c’était un peu intense à la fin. J’essayais d’être patiente et zen afin de ne pas réagir. Il y avait beaucoup de frictions.
Des propos qu’elle a confirmés tout récemment au micro de Jordan de Luxe, refusant toutefois d’enfoncer le célèbre animateur :
Il y avait des frictions mais je l’adore (Dechavanne, ndlr), personne n’est parfait. Je ne veux pas rentrer là-dedans car c’est passé. Je garde pour moi. C’est mieux comme ça. À la fin, il était temps de passer à autre chose. J’étais vraiment contente d’arrêter « La roue de la fortune » !
L’étonnant complexe de Victoria Silvstedt depuis la roue de la fortune
Contente de tourner la page, donc, Victoria Silvstedt est néanmoins reconnaissante de la popularité que cette expérience lui a apporté en France. En revanche, elle traîne depuis un complexe gênant au regard de son métier, et qu’elle a confié :
J’ai un énorme complexe depuis la roue de la fortune avec les talons. J’ai comme une patate dans les pieds !
Il faut dire que la native de Skelleftehamn portait systématiquement des talons, en plus d’une tenue légère, ce qui était alors monnaie courante dans le monde d’il y a 20 ans, et qui a disparu aujourd’hui. Avec du recul, la quinquagénaire retient en tout cas le positif :
Moi j’ai appris mon Français comme ça, avec les voyelles et les consonnes, et c’était pour le show. Grâce à ça, j’ai fait plein d’émissions. Cela m’a donné une bonne image pour faire autre chose.
Il y a du bon et du moins bon pour Victoria Silvstedt durant ses années passées à la co-présentation de « La roue de la fortune », et notamment cette histoire de complexe lié aux chaussures à talon… La Suédoise ne crache toutefois pas dans la soupe, en dépit des moments difficiles qu’elle a vécus, ce qui est tout à son honneur.