puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Par Pierre-Andréa Fraile | Journaliste sportif
Aujourd’hui divorcés, Eva Longoria et Tony Parker ont pendant quelques années formé l’un des couples les plus populaires de la NBA. La célèbre actrice et topmodel avait dès lors pu révéler l’une des drôles d’habitudes du Français en 2007.
À n’en pas douter, sa vie sentimentale ô combien décryptée par les médias lui a permis de gagner quelques fans durant sa carrière. N’allez cependant pas croire que Tony Parker a eu besoin de cela pour devenir l’un des joueurs les plus réputés de NBA durant ses grandes heures. En effet, ses immenses qualités de meneur lui permettaient déjà d’afficher un statut de star avant qu’il ne se marie avec Eva Longoria.
Par ailleurs, le talent du Français a rendu de fiers services aux Spurs, avec qui il a remporté pas moins de quatre titres de champion. Aux côtés de Tim Duncan et Manu Ginobili, il apparaissait comme l’un des cadres de la franchise et l’un des principaux artisans de son succès. Cela ne se faisait cependant pas sans sacrifices de sa part, n’en déplaise à sa célèbre dulcinée de l’époque.
Le petit secret intime livré par Eva Longoria sur Tony Parker
Alors qu’il filait vers sa troisième bague de champion et un titre de MVP des Finales en 2007, Parker avait accepté de s’épancher sur ce qui le rendait aussi coriace pour les défenses adverses. Son discours avait alors fait référence à sa mentalité de champion, mais renfermait également la stratégie qu’il employait pour faire constamment du mal à ses adversaires. Des propos rapportés par Greg Boeck de USA TODAY :
Tony Parker : C’est un état d’esprit à avoir. Il faut penser et aborder le basket d’une certaine façon, oublier les tirs ratés. J’utilise avant tout ma pénétration et quand l’équipe adverse arrive à arrêter ça, j’utilise mon tir.
Avant tout dangereux sur ses drives rapides et agressifs vers le panier, TP9 pouvait s’appuyer sur une intrépidité à toute épreuve :
Tony Parker : Le contact ne m’a jamais dérangé. Je n’arrête jamais de le chercher.
Jamais effrayé à l’idée de se frotter aux big men, l’ex-international tricolore se distinguait de la sorte de Longoria, toujours inquiète à l’idée de le voir se blesser dans le traffic. Il faut dire que ses allers-retours dans la peinture ne le laissaient pas indemnes, comme sa compagne le dévoilait avec humour :
Eva Longoria : Il donne un nom à chacune de ses égratignures. Quand il rentre, je lui demande, « Qui t’a fait ça ? » Et il me répond, « C’est ma ‘Allen Iverson’. » Il a des griffures partout.
Force est quoi qu’il en soit de constater que ces ecchymoses aux prestigieux noms n’ont jamais encouragé leur porteur à prendre moins de risques dans son jeu. Cela reste après tout comme la recette de son succès.
Expert dans l’art du drive durant sa grande époque, Tony Parker n’avait que faire des marques que cela pouvait laisser sur son corps. Eva Longoria, elle, pouvait dès lors découvrir une nouvelle trace de ses efforts à chaque fois qu’il rentrait à la maison.
