Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Si elle a longtemps eu une vie sentimentale agitée et publique, notamment lorsqu’elle formait un couple très médiatisé avec Christian Karembeu, Adriana Karembeu ne s’est réellement ouverte sur sa sphère privée que depuis quelques années. C’est ainsi qu’elle a récemment pris position sur un sujet majeur, déconseillant aux femmes de marcher dans ses pas.
Ancienne mannequin, et désormais personnalité des médias, écrivaine et femme d’affaires, Adriana Karembeu reste particulièrement dynamique. Mais son quotidien professionnel a été bouleversé en 2018 par l’arrivée de Nina, sa fille unique qu’elle a mise au monde un mois avant de fêter ses 47 ans. Un petit exploit d’autant plus savoureux que la star et son mari d’alors avaient dû surmonter une fausse couche en 2016.
Adriana Karembeu sincère sur son accouchement (très) tardif
Pour autant, elle l’a dit très vite : la Slovaque de naissance n’ambitionne aucunement de devenir la porte-parole des mères tardives. À vrai dire, c’est presque le contraire. Invitée du plateau de « Buzz TV » tout récemment, Adriana Karembeu n’a pas souhaité encourager les femmes à devenir mère aussi tardivement qu’elle. Elle a ainsi été claire sur le sujet :
Je ne recommande pas de faire un enfant à un certain âge, car c’est trop tard. Moi j’ai accouché à 46 ans, c’était un miracle. C’est la nature, et la nature à un moment donné elle va dire non. Pourquoi moi j’ai attendu pour avoir cet enfant ? Je ne sais même pas, ce sont des circonstances. »
Pour ne rien arranger, et conséquence ou non de cet âge avancé, l’ancienne femme de Christian Karembeu a vécu une grossesse horrible. Elle racontait à « Pure People » il y a quelques semaines :
Je ne pouvais absolument rien manger. C’était un truc de dingue. Je me souviens que mon médecin m’a dit : « Encore un kilo que tu perds, et c’est l’hôpital ».
Révulsée par toutes les odeurs quelles qu’elles soient, la mannequin se contentait parfois d’un demi-yaourt en guise de repas. Elle avait également du s’éloigner de son chien, dont la simple odeur l’écoeurait. Mais fort heureusement, toutes ces galères ont disparu avec l’accouchement, qui a constitué un bonheur inoubliable pour cette mère sur le tard. Aujourd’hui avec un sourire retrouvé, elle glisse :
Le jour où j’accouche, j’ai accouché à 15h19, et bien à 19 heures, j’ai pu manger mon plat entier comme avant. […] Tout a disparu, quelques heures après mon accouchement. Mon corps, ma digestion après ma grossesse, c’était magnifique. Comme quoi, ça a tout changé !
Si l’âge moyen du premier enfant tend à être repoussé depuis quelques années, Adriana Karembeu sensibilise sur les limites de la nature. Pour elle, mieux vaut ne pas attendre trop tard pour devenir mère, sous peine de s’exposer à plusieurs complications. Voilà qui a le mérite d’être dit et assumé !