La révélation choc de Jean-Pierre Foucault (76 ans) sur sa consommation de drogue : « J’étais…

Jean-Pierre Foucault
France TV (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Dans un milieu souvent propice aux excès en tous genres, Jean-Pierre Foucault est l’un de ceux qui, comme Michel Drucker, ont toujours su garder la tête froide ou presque. Il faut dire que dans sa jeunesse, le célèbre animateur avait connu une expérience traumatisante avec la drogue. De quoi le dissuader à tout jamais…

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À 76 ans, Jean-Pierre Foucault s’offre une fin de carrière en pente douce. Après avoir beaucoup travaillé pour cimenter sa place comme l’une des personnalités les plus influentes des 50 dernières années du PAF, le Marseillais admet sans mal qu’il profite désormais pleinement de la vie, tout en maintenant quelques activités ici et là – dont, évidemment, la présentation de Miss France chaque année.

Quand il ne travaille pas, ce Sudiste pur aime passer du bon temps loin des caméras, en toute tranquillité. Il faut dire que Foucault n’est pas de ceux qui ont animé le microcosme parisien par leurs outrances ou leurs excès. Lui vit plutôt sainement, et pour cause : lorsqu’il avait 13 ans, un épisode très douloureux et choquant s’est abattu sur lui.

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Quand Jean-Pierre Foucault, drogué, perdait la tête

Dans son livre « La couleur des souvenirs », la star de TF1 raconte qu’au retour d’un séjour linguistique en Angleterre, alors qu’il a 13 ou 14 ans, son poids qui avait tendance à vite augmenter est cette fois-ci devenu carrément préoccupant. Inquiète, sa mère l’emmène à l’hôpital, où le jeune Jean-Pierre voit un coupe-faim lui être prescrit. Mais les effets secondaires vont vite faire tourner l’affaire au cauchemar.



D’ordinaire discret en cours, il se met à crier, sauter sur les tables… Face à cet état second préoccupant, l’établissement a fini par réagir. Il se souvient :

On s’avisa tout de même qu’un tel comportement n’était pas totalement naturel. J’étais, au fond de moi, un enfant timide et introverti, et j’assistais, terrifié, au spectacle de mes propres extravagances.

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La vérité a finalement éclaté, et chacun a réalisé que les petits comprimés très puissants ingurgités par l’adolescent était la source du problème. Incroyablement soulagé de retrouver sa vie normale, Foucault a ensuite tracé le destin que l’on lui connaît. Mais il reste encore secoué par cet épisode à ce jour, comme il l’écrit dans ce même livre :

Le Califon (le produit en question, ndlr) était un dérivé d’amphétamines très efficace pour couper la faim, mais qui pouvait provoquer des troubles du comportement lorsqu’il était absorbé régulièrement. Ce qui était mon cas. À 13 ans, j’étais drogué aux amphétamines, aussi sûrement que si j’avais reniflé de la cocaïne !

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Cette anecdote assez troublante tranche évidemment avec la rigueur et la droiture de Jean-Pierre Foucault, qui a vécu là l’un des traumatismes les plus importants de sa jeunesse. Au moins, il était quasiment certains qu’il ne céderait jamais à la drogue étant adulte après une telle expérience !

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