Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Terrassé par la maladie il y a bientôt deux ans, Jean-Pierre Pernaut a malheureusement vécu des derniers instants de souffrance. À ses côtés comme toujours, Nathalie Marquay a courageusement confié ce qu’elle a vécu dans son livre, « Un signe de toi », paru ce 4 janvier. Et elle ne tait rien, pas même la remarque d’une infirmière qui l’a étonnée…
Nathalie Marquay n’élude rien ou presque dans son livre « Un signe de toi », pas même les très douloureux derniers moments vécus par Jean-Pierre Pernaut, emporté le 5 mars 2022. Très affaibli à la fin de sa vie, le journaliste a subi une ablation d’un demi-poumon qui avait pour but de le sauver. Mais « JPP » a lâché prise, et Nathalie Marquay a alors compris ce qui l’attendait :
Je redescends sur terre. J’entends le bruit terrifiant du compte à rebours qui s’est déclenché, a commencé à égrener les heures qui désormais conduisent Jean-Pierre vers la mort. J’apprends par les infirmières que, lorsque son esprit divague, il arrive à Jean-Pierre de dire que nous sommes morts, les enfants et moi. Sans doute est-ce sa propre mort, alors, qu’il entrevoit.
La remarque d’une infirmière qui a troublé Nathalie Marquay
Une fois l’heure fatidique venue, celle qui fut élue Miss France 1987 n’a pas manqué de faire part de sa reconnaissance envers le personnel médical, très dévoué.
Les médecins auront tout fait pour le sauver, je leur suis éternellement reconnaissante. Ils ont respecté à la lettre la volonté de mon mari. Toute l’équipe médicale, jour et nuit, a veillé sur lui et a tout fait pour soulager au maximum ses douleurs. Merci.
Pour autant, la mère de Tom et Lou est restée perplexe face à la remarque d’une infirmière :
« Dites bien que votre époux est décédé des suites de son cancer des poumons ».
« Pourquoi ? », se questionne ouvertement Nathalie Marquay dans son livre.
En effet, à ce jour, l’ancienne reine de beauté reste persuadée que ce n’est pas le crabe qui a eu raison de Jean-Pierre Pernaut, mais plutôt le vaccin du Covid, potentiellement conjugué à d’autres facteurs, dont le cancer. Dans les colonnes de Gala, ainsi que lors d’une soirée au profit de l’association des « Bonnes Fées », elle avait déclaré :
Jean-Pierre n’est pas mort du cancer. Les médecins ne comprenaient rien. C’est pour cela que je suis sceptique sur les causes réelles de son décès. J’ai voulu rétablir un peu la vérité pour déclarer qu’il n’est pas mort du cancer, mais bien d’autre chose. Très vite, il a dû être hospitalisé, la valve de son cœur était abîmée alors que moins de trois semaines auparavant, tout allait parfaitement bien.
On n’a pas de recul sur ces injections. Je ne suis pas médecin, mais je me demande si le vaccin et la radiothérapie font bon ménage, parce que, huit jours après la troisième vaccination, il a eu un premier AVC. Puis deux, trois… douze ! Le treizième lui a été fatal.
Toujours dans le doute quant au décès de l’homme de sa vie, Nathalie Marquay se souvient encore de cette phrase de l’infirmière, qui l’a marquée. Pas de quoi remettre en cause l’attitude admirable du personnel, qui a tout fait pour accompagner Jean-Pierre Pernaut au mieux face à la maladie. En vain.