Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Si la version officielle attribue le décès de Jean-Pierre Pernaut au cancer du poumon qui le rongeait, lui qui était un grand fumeur, Nathalie Marquay ne l’entend pas de cette oreille. D’ailleurs, l’ancienne Miss France est persuadée qu’un autre facteur bien précis à entraîner la mort de son époux, et elle n’hésite pas à le clamer haut et fort.
Voilà près de deux ans, déjà, que Jean-Pierre Pernaut nous a quittés. Et tandis que le regretté présentateur du JT de 13 heures continue de manquer à des millions de téléspectateurs, sa veuve éplorée Nathalie Marquay poursuit tant bien que mal son existence. Mais le deuil est complexifié par une donnée non négligeable : d’après elle, son époux n’est pas mort du cancer du poumon qui lui avait décelé.
En octobre dernier, déjà, elle affirmait lors d’une soirée organisée par l’association « Bonnes fées » :
Le cancer, ce n’est pas automatiquement la mort. C’est vrai que ça fait peur ce mot mais avec la science, on arrive à en guérir. D’ailleurs, Jean-Pierre qui en a eu deux n’est pas mort du cancer.
Nathalie Marquay réitère que Jean-Pierre Pernaut n’est pas mort du cancer
À l’époque, ces propos n’étaient pas passés inaperçus, et avaient causé de nombreuses réactions. Il en sera de même après la nouvelle sortie de Nathalie Marquay, qui a persisté et signé dans un entretien tout récent accordé à Gala :
Les médecins ne comprenaient rien. C’est pour cela que je suis sceptique sur les causes réelles de son décès. J’ai voulu rétablir un peu la vérité pour déclarer qu’il n’est pas mort du cancer, mais bien d’autre chose.
Mais finalement, très vite, il a dû être hospitalisé, la valve de son cœur était abîmée alors que moins de trois semaines auparavant, tout allait parfaitement bien.
Des éléments qui ont intrigué Nathalie Marquay, et qui l’ont amenée à une conclusion : pour elle, c’est le vaccin du Covid qui a dégradé la santé de l’ancienne star de TF1.
Dans cette même interview à Gala, elle a fait part de ses sérieux doutes quant à ce vaccin. Avec des termmes qui, une fois de plus, ne manqueront pas de faire réagir :
On n’a pas de recul sur ces injections. Je ne suis pas médecin, mais je me demande si le vaccin et la radiothérapie font bon ménage, parce que, huit jours après la troisième vaccination, il a eu un premier AVC. Puis deux, trois… douze ! Le treizième lui a été fatal.
Nathalie Marquay n’en démord pas : selon elle, ce n’est pas le cancer du poumon qui a emporté Jean-Pierre Pernaut, mais plutôt le vaccin du Covid qui aurait éreinté son coeur, précipitant son décès. Quoiqu’il en soit, chacun s’accordera sur le vide qu’a laissé le si naturel « JPP » dans le milieu du journalisme…