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Par Guillaume K. | Journaliste sportif
Parce qu’il y habite depuis quelques mois désormais, Bilal Coulibaly a eu le temps d’appréhender la vie à Washington DC. Il vient d’ailleurs de se confier auprès de sa franchise, et il a fait un parallèle avec la vie à Paris. Il n’est clairement pas dépaysé.
Derrière Victor Wembanyama, Bilal Coulibaly est également en train de réussir un bon début de carrière en NBA. Ses statistiques sont moins impressionnantes que l’intérieur des Spurs, mais dans un rôle plus limité, il tourne tout de même à 8.2 points, 3.8 rebonds, 1.6 passe décisive et 1.1 interception par match. Il est clairement le futur de la franchise.
Bilal Coulibaly with the steal and the transition dunk pic.twitter.com/RfFehpAuE0
— wizzy (@youngwizzyDFS) November 28, 2023
Bilal Coulibaly parle de la vie à Washington DC
Et en plus de devoir s’adapter à une nouvelle ligue, il doit aussi se faire à la vie Outre-Atlantique, ce qui ne doit pas forcément être facile pour un jeune homme de 19 ans. La bonne nouvelle, c’est qu’il voit beaucoup de similitudes entre Washington et la région parisienne, ce qui lui permet une acclimatation en douceur. Il s’est exprimé à ce sujet sur la chaine YouTube de la franchise.
La vie à Washington DC est plutôt bonne, il y a beaucoup de similarités avec Paris. Quand ma famille vient me voir on va visiter des musées, on va voir certains monuments. Il y a beaucoup de choses à faire donc c’est cool. Par contre comme je n’ai pas de voiture, mes coéquipiers ont dû me ramener de l’entrainement, ils ont dû m’amener à la salle…
Bilal Coulibaly est né en banlieue parisienne, il a fait toutes ses classes chez les Metropolitans avant de découvrir le monde professionnel aux côtés de Victor Wembanyama, il ne connait donc que la vie dans la capitale française. Avant la Draft, il devait forcément craindre de tomber dans une petite ville comme Oklahoma City ou Portland, le décalage aurait été bien trop important.
À Washington DC, le jeune arrière retrouve non seulement un ville pleine d’histoire, comme Paris, mais il n’est pas trop dépaysé au niveau de la densité de population. D’après le dernier recensement, l’aire urbaine autour de la capitale américaine accueillerait pas moins de 6.2 millions d’habitants. On comprend pourquoi l’adaptation est si simple pour lui.
Bilal Coulibaly vit un rêve en évoluant en NBA, et il le fait en plus dans une région particulièrement attrayante des États-Unis. Après avoir passé sa vie en région parisienne, le choc aurait été bien trop grand dans une petite ville moins cotée.
