Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
Récemment devenue mère pour la deuxième fois à l’âge tardif de 46 ans, Virginie Efira nage en plein bonheur. D’ailleurs, une fois l’étape de l’accouchement passée, l’actrice avait une furieuse envie de se faire plaisir. Avec notamment un désir particulier à assouvir, comme elle l’a révélé à Léa Salamé récemment…
Si Virginie Efira est absente des plateaux de tournage depuis début janvier, c’est pour la bonne cause. 10 ans après avoir donné naissance à Ali, sa fille qu’elle a eue avec Mabrouk El-Mechri, la belgo-française a accueilli un petit Hiro, fruit de ses amours avec Niels Schneider. Un véritable bonheur pour la quadragénaire, qui, horloge biologique oblige, n’avait plus beaucoup de temps pour avoir un autre enfant. Pas de quoi devenir une égérie pour autant, comme elle l’a confié à RTL :
Si je suis un modèle parce qu’on se dit : “Tiens, je vais attendre d’avoir 46 ans pour tomber enceinte”, c’est un peu complexe quand même. Pour moi, c’est arrivé par hasard mais c’est aussi, peut-être, parce que ça ne pouvait pas arriver. Mais il y a quand même des éléments biologiques avec lesquels il faut faire.
Virginie Efira a vite repris l’alcool après son accouchement
Invitée de « Quelle Epoque » il y a une dizaine de jours, celle qui s’est fait connaître en France en animant « Nouvelle Star » a également avoué qu’elle n’avait pas traîné à recommencer l’alcool. Et de manière plutôt féroce visiblement :
Énormément ! Énormément la première semaine après mon accouchement. Mais alors vraiment comme un besoin… Et puis après, ça s’est un peu calmé quand même !
Cette envie finalement assez anecdotique ayant été assouvie, Virginie Efira peut se consacrer pleinement au petit Hiro, âgé de quelques mois à peine. Forcément plus mûre qu’il y a 10 ans, l’actrice ne nie pas que cette deuxième expérience en tant que sa mère est différente de la première. C’est en tout cas ce qu’elle a expliqué au Parisien :
Evidemment que c’est différent. En dix ans, on évolue. Le contexte amoureux et professionnel est différent aussi. Et puis, j’avais déjà fait le grand saut de la parentalité, avec ce que cela a d’excitant et d’angoissant à la fois. Mais je vous rassure : tout le monde va bien, mon fils aussi !
Je ne me suis pas dit que j’allais m’arrêter de tourner un ou deux ans pour être au plus près de mon enfant. Mon équilibre ne passe pas par là. On verra quand quelque chose se présentera. J’ai la grande chance de pouvoir amener mon bébé avec moi sur un tournage, comme je l’ai toujours fait avec ma fille, et puis son père peut s’en occuper
Après avoir évidemment arrêté l’alcool pendant sa grossesse, Virginie Efira, qui reste fêtarde dans l’âme en dépit des années qui passent, s’est empressée de savourer quelques bonnes bouteilles. Et au regard des complexités et du stress qui peuvent être engendrés par une grossesse, personne ne l’en blâmera !