Président, les 2 aliments que François Hollande interdisait à l’Elysée : « Pas de…

François Hollande
France Info (DR)

Locataire de l’Elysée entre 2012 et 2017, François Hollande a imposé sa patte sur plusieurs volets de la vie au Palais, comme chacun de ses prédécesseurs l’avaient fait avant lui. C’est notamment sur la nourriture que le natif de Rouen a pris une décision radicale : interdire deux aliments pourtant très représentatifs de la gastronomie française. C’est ce qu’a expliqué Valérie Trierweiler.

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S’il n’a pas laissé un souvenir impérissable à de nombreux Français, et s’il lui a parfois été reproché d’être arrivé au pouvoir par défaut en 2012, François Hollande était bel et bien Président de la République pendant 5 ans. Un quinquennat notamment marqué par le mariage pour tous en 2013, et, malheureusement, par la lutte contre le terrorisme.

François Hollande en guerre contre 2 aliments à l’Elysée

Sur des sujets nettement plus légers, celui qui a longtemps fait carrière en Corrèze a également pris des décisions sur sa vie quotidienne de chef de l’Etat. Il a ainsi décidé de sortir deux aliments emblématiques de la cuisine français des menus de l’Elysée, comme l’a expliqué l’ancienne première dame Valérie Trierweiler.

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En couple avec l’homme politique entre 2005 et 2014, et à l’initiative de l’amaigrissement du candidat Hollande pour le rendre plus présidentiable, la journaliste a profité d’une de ses interventions sur le plateau des « Grosses Têtes » pour dévoiler ces quelques secrets d’Etat. Alors que Laurent Ruquier évoquait le boeuf de Kobe, une race particulière émanant du Japon, Trierweiler a indiqué en avoir mangé avec François Fillon, et avoir apprécié.



Relancée par l’animateur, curieux de savoir ce qu’elle avait « mangé de bon » à l’Elysée, la native d’Angers a élaboré :

Trierweiler : « Il y avait de très bons dîners, j’ai mangé de tout. Il y avait pas mal de plats qui étaient interdits sous François Hollande ».

Ruquier, étonné : « Ah bon ? »

Trierweiler : « Pas de homard, pas de caviar ».

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En bannissant ces plats réputés luxueux et onéreux, l’homme de gauche voulait-il montrer l’exemple et serrer la ceinture des dépenses de l’Etat ? S’agissait-il simplement d’une volonté de conserver la ligne ? Probablement pas, puisque François Hollande ne s’est jamais caché d’aimer la bonne nourriture. L’un de ses pêchés mignons est d’ailleurs les frites, comme il l’avouait au micro de Samuel Etienne il y a quelques années :

Je suis très classique moi, vous savez : entrecôte-frites. C’est désespérant pour les cuisiniers ! Il y a tout de même des règles à respecter. Quand vous recevez des chefs d’Etat ou de gouvernement, vous ne leur servez pas un steak-frites. Vous leur servez de la cuisine française. (…) J’entendais qu’on me reprochait de manger des frites. Mais quelle est cette conception ?

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Que ce soit pour des raisons d’austérité, d’exemplarité ou simplement de goût, François Hollande avait bel et bien banni le homard et le caviar des cuisines de l’Elysée. Une attention que n’a pas eue son successeur, puisqu’Emmanuel Macron est connu pour recevoir ses convives avec de tels plats. Joe Biden, notamment, peut en témoigner !

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