puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Avec tout ce qu’il a vécu depuis son arrivée aux États-Unis, on pourrait penser que Victor Wembanyama y est depuis des années. Mais non, ça ne fait qu’un mois qu’il vit son rêve américain, et il vient de dresser un premier bilan. Deux choses lui manquent déjà cruellement.
Cela fait un peu plus d’un mois désormais que la finale du championnat de France a pris fin et que Victor Wembanyama s’est envolé pour les États-Unis, mais vu tout ce qu’il a vécu depuis, ces 5 semaines doivent paraitre une éternité. Entre sa réception exceptionnelle par le public, le soir de la Draft, la Summer League et les polémiques, le prodige français n’a pas eu une seconde pour lui.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il a décidé de se couper du monde pendant quelques jours suite à son départ de Las Vegas. À seulement 19 ans, il reçoit la même attention que les plus grandes stars de la ligue, voire plus, ce qui ne doit pas être facile à gérer, même pour un jeune homme aussi équilibré et intelligent que lui. Et ce sera peut-être pire lors de la saison régulière, il doit donc faire le vide au maximum.
Victor Wembanyama parle de la cuisine française !
Puis, même si ce n’est que le début de l’aventure, il doit sans doute faire face à un petit mal du pays. Les Spurs font tout pour qu’il se sente chez lui, mais difficile de retrouver l’excitation et la beauté de Paris au coeur du Texas. Filmé par les caméras de la NBA, Victor Wembanyama a fait une confession assez honnête : la nourriture française lui manque déjà terriblement.
Victor Wembanyama reflects on food and his NBA journey over breakfast ☕ pic.twitter.com/yPteFiI5iU
— NBA (@NBA) July 20, 2023
Je ne mange pas vraiment de croissants parce que ce n’est pas sain, mais ils me manquent. Ceux ici ne sont pas moches, mais ils sont bizarres. Ce qui me manque aussi, c’est la cuisine de ma mère. Elle cuisine bien plusieurs plats, comme la blanquette de veau. Je n’en ai pas mangé depuis des mois. La ratatouille aussi… La manière dont elle cuisine me manque.
Comme tous les Français expatriés aux États-Unis, Victor Wembanyama est déjà nostalgique de notre gastronomie. Les viennoiseries au petit-déjeuner, les bons plats cuisinés par sa mère, tout lui manque lors de ce premier mois américain ! Et encore, il a une chance que tout le monde n’a pas, il est une superstar qui peut se payer les meilleurs restaurants, les meilleurs produits, il n’est donc pas condamné à l’alimentation industrielle si populaire Outre-Atlantique.
Victor Wembanyama a beau être un prodige du basket, une superstar NBA pour qui les Spurs sont aux petits soins, il reste finalement un Français comme les autres. Dès qu’il part dans un pays où la gastronomie n’est pas reine, il rêve de croissant, de pain et de blanquette de veau.
