De retour sur TF1 aux commandes de « Plus belles vacances », Valérie Damidot a donné plusieurs interviews récemment. L’occasion pour elle d’évoquer divers sujets avec sa franchise légendaire, dont celui de son poids, qui lui a valu tant de tracas (et parfois de discriminations) au fil de ses années à la télévision.
A 58 ans, Valérie Damidot semble plus occupée de jamais. En plus de continuer à être présente sur TF1, la native de Hauts-de-Seine s’est lancée récemment dans le one-woman show avec son spectacle « Valérie Damidot s’expose ». Une aventure forcément particulière pour elle, d’autant que cette vocation se fait sur le tard.
Amaigrie, Valérie Damidot s’ouvre sur sa perte de poids
De passage dans l’incontournable talk-show « Quelle Epoque » ce samedi, l’ancienne reine de la déco sur M6 a frappé plusieurs internautes par sa silhouette plus affinée. Un constat qui fait écho à une interview qu’elle avait réalisée auprès de Pure People début février, confiant alors avoir perdu près de 20 kilos :
J’en suis à 17 (kilos perdus, ndlr) et je voudrais encore en perdre 4 ou 5. En fait, on croit que dans un régime, le plus dur, c’est de maigrir. Mais non. Le plus dur c’est de stabiliser. Maigrir c’est super. Normalement, si tu manges mieux et que tu bouges, tu perds assez vite. Mais tu peux reprendre assez vite. Alors j’aimerais pouvoir perdre encore un peu pour pouvoir être tranquille.
La mission est visiblement accomplie pour la mère de deux enfants, qui concède toutefois avoir souffert de certaines remarques ou perceptions sur son physique. En mars dernier, elle révélait :
J’ai souffert de l’image que l’on m’a renvoyée. Les journalistes s’étonnaient que j’anime un prime TV avec un physique de radio. J’ai accepté d’être la dodue de service, car j’ai reçu un immense soutien des téléspectateurs.
J’ai surtout réalisé que rester sincère, me montrer telle que j’étais, c’est-à-dire cash, spontanée avec un sacré tempérament, cela faisait du bien aux gens. Cette expérience m’a permis de m’assumer.
Ma taille 48 ne m’a jamais empêchée ni de trouver des fringues ni de plaire ni de m’épanouir. Mais après le confinement, en vue des représentations, j’ai cherché à être au top physiquement… En pleine ménopause avec des problèmes de thyroïde, Weight Watchers s’est avéré la solution. Je fais également du sport, ne me déplace qu’à vélo et suis inscrite à la salle de gym avec ma fille. Je dois avouer que le regard n’est pas le même lorsqu’on pèse 80 ou 50 kilos.
Closer
En paix avec elle-même et avec son physique, nul doute que Valérie Damidot continuera à fourmiller de projets, et à être cette grande gueule si appréciée du public. On lui souhaite en tout cas beaucoup de succès, tant sur scène que dans ses futures entreprises personnelles et professionnelles !