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Après avoir vaincu Golden State, les Lakers peuvent se targuer d’avoir livré une prestation aboutie. A l’issue du match, une statistique folle est sortie sur l’un des joueurs de l’effectif, et le facteur X de sur la route du titre est clairement identifié !
Au sein d’une même équipe NBA, il y a les stars et les lieutenants. Et certains soirs où les supposés franchise players ne sont pas dans leur assiette, les facteurs X doivent se révéler et permettre à leur équipe de gagner des matchs cruciaux. Pour ce qui est des Lakers, plusieurs noms viennent en tête à l’évocation de ce rôle. Depuis la trade deadline, les Angelinos disposent en effet d’un effectif pléthorique.
Austin Reaves, Rui Hachimura et d’autres encore ont déjà brillé depuis le début de ces playoffs, Darvin Ham peut donc se réjouir de sa profondeur d’effectif. La preuve, dans la victoire probante sur le parquet des Warriors ce mardi, cinq joueurs ont terminé la partie à 10 points ou plus. Parmi eux, D’Angelo Russell affiche des stats hallucinantes et s’impose comme le clair élément déterminant des Pourpres et Ors.
La stat qui fait de D’Angelo Russell le facteur X des Lakers
The Lakers are an overall 13-2 when D’Angelo Russell scores 17+, 5-0 in the playoffs.
by u/mxgicjohnson in nba
Les Lakers sont à 13 victoires et 2 défaites quand D’Angelo Russell inscrit 17 points ou plus. 5-0 en playoffs.
Avec cette statistique plus que parlante, D-Lo devient le véritable élément déterminant des Lakers. Lorsque le meneur est en forme, son équipe s’impose la majeure partie du temps et devient alors quasiment injouable. Mieux encore, ce bilan prend plus de sens en playoffs. Sur les cinq matchs au cours desquels l’ancien de Minnesota a planté 17 unités ou plus, les Lakers n’ont pas perdu une seule fois.
Lors du Game 1 à San Francisco, il a donc marqué 19 points et pris le relais d’un Austin Reaves légèrement plus discret qu’à l’accoutumée. Parce qu’il a rapidement été en confiance, D-Lo n’a pas hésité à prendre le lead de l’attaque des Angelinos en s’autorisant 19 shoots. Il fallait bien ça pour contrer Stephen Curry…
Mais attention, Russell n’est pas le seul facteur de réussite chez les hommes de Darvin Ham. Contre la bande de Steve Kerr, il a pu profiter d’un Anthony Davis stratosphérique à la ligne de stats All-time. Avec 30 points et 23 rebonds, AD a clairement assumé son rôle de première option offensive et ne s’est pas caché. Les 19 unités de Dennis Schröder ont également été primordiales pour LA.
Si on avait évoqué Jarred Vanderbilt ou Austin Reaves, il s’avère que le véritable game changer de Los Angeles s’appelle D’Angelo Russell. Lorsque le meneur est en forme, c’est toute son équipe qui en profite et le succès est souvent à la clef.
